Performances historiques pour l’activité électroménager au 1er trimestre

801,25 millions de dollars de bénéfices consolidés pour LG au premier trimestre 2019. Le chiffre d’affaires consolidé du géant sud-coréen ressort à 13,27 milliards de dollars. Malgré un léger repli des revenus et des résultats d’exploitation par rapport à 2018, la division électroménager s’en sort haut la main signant des ventes et résultats records à fin mars. LG Home Appliance & Air Solution a, en effet, enregistré un CA de 4,86 milliards de dollars et un résultat d’exploitation de 647,3 millions. «Il s’agit des meilleures performances de l’histoire de LG», se félicite le groupe dans un communiqué. L’entreprise a vu ses ventes progresser essentiellement en Europe et en Asie, avec une croissance de 11% sur un an et de 26% d’un trimestre à l’autre. «L’augmentation des bénéfices d’exploitation de plus de 30% par rapport à la même période de l’année dernière peut également être attribuée à la popularité croissante des produits à forte croissance tels que le Styler, les sèche-linge, les purificateurs d’air et les aspirateurs, ainsi que les efforts efficaces de réduction des coûts». Pour LG Home Entertainment Company, le chiffre d’affaires du premier trimestre s’est établi à 3,58 milliards de dollars, tandis que le bénéfice d’exploitation a fléchi de 3% pour s’établir à 308,27 millions de dollars. La division mobile du groupe, LG Mobile Communications Company, a pour sa part affiché un CA de 1,34 milliard de dollars, ramenant sa perte d’exploitation trimestrielle à 181,05 millions. LG Vehicle Component Solutions affiche, elle, des revenus de 1,2 milliard de dollars, soit une nette augmentation de 61% par rapport à la même période de l’année dernière. Enfin, LG Business Solutions Company a réalisé, sur la période, un CA de 556,58 millions de dollars, soit 5% de plus que le trimestre précédent et 3% de moins que le premier trimestre de l’année précédente. Le bénéfice d’exploitation ressort à 49,38 millions, soit 272% de plus que celui du trimestre précédent, mais inférieur de 3% par rapport à l’année dernière, en raison de l’impact des tarifs américains sur les importations de modules solaires et de la forte érosion continue des prix sur les principaux marchés.