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Plus de 30% des utilisateurs marocains ont subi des menaces au 2e trimestre

Plus de 30% des utilisateurs marocains ont subi des menaces au 2e trimestre
Pour assurer leurs protections, Kaspersky incite les utilisateurs à disposer non seulement d’une solution antivirus capable de traiter les objets infectés mais également un pare-feu, une fonctionnalité anti-rootkits (un processus caché qui modifie le comportement du système d’exploitation) et un contrôle sur les périphériques.

Plus de 5 millions de cyberattaques ont été recensées au Maroc au deuxième trimestre 2019. Selon le dernier bulletin trimestriel de Kasperky, plus de 30% des utilisateurs marocains ont été sujets de menaces véhiculées par le web au cours de cette période. «Nos conclusions pour le deuxième trimestre nous incitent à recommander une fois encore un travail de sensibilisation auprès des Marocains, afin de les informer sur le rôle clé de la sécurité informatique. La majorité des menaces peuvent être parées grâce à des réflexes simples et de bons gestes à adopter», a déclaré le directeur des ventes B2B du spécialiste de la sécurité des systèmes d’information pour la région Afrique du Nord, Pascal Naudin. Selon Kaspersky, 5.061.044 incidents liés à des logiciels malveillants téléchargés depuis internet ont été détectés d’avril à juin. Ce qui place le Maroc au 34e rang mondial des pays exposés aux menaces informatiques associées à la navigation en ligne. Par ailleurs, le document souligne qu’en termes de menaces locales, le Royaume se positionne à la 61e place mondiale. Et pour cause : la grande fréquence des attaques par vers et virus diffusés via clés USB, CD, DVD et toute autre méthode «hors ligne». «Les solutions de Kaspersky ont détecté 15.156.602 incidents de logiciels malveillants en local sur les ordinateurs utilisant Kaspersky Security Network au Maroc. Au total, 52,9% des utilisateurs ont été victimes de menaces locales entre avril et juin», précise le groupe dans un communiqué. Pour assurer leurs protections, Kaspersky incite les utilisateurs à disposer non seulement d’une solution antivirus capable de traiter les objets infectés mais également d’un pare-feu, une fonctionnalité anti-rootkits (un processus caché qui modifie le comportement du système d’exploitation) et un contrôle sur les périphériques. 

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