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Le Conseil provincial de Chichaoua a adopté, lors de sa session ordinaire au titre du mois de janvier, tenue en début de semaine, un programme visant à renforcer les infrastructures dans le domaine de l’enseignement, pour un coût estimé à 1,9 million de DH. Lors de la première séance de cette session, à laquelle ont pris part le président du Conseil provincial, Saïd El Mhajri, et le gouverneur de la province, Bouabid El Guerrab, cette instance élue a adopté, à l’unanimité, le programme portant sur la construction de clôtures des établissements scolaires.
Les conseillers ont, par la même occasion, approuvé la désignation de Hamid Amedah et d’Abderrahim Boustout en tant que représentants du conseil provincial au sein du conseil du Bassin hydrique de Tensift, et de Hassan Belaounass, d’Aziz El Bouab et d’El Hassan El Guerrari au conseil du Bassin hydrique de Souss-Massa. L’assemblée provinciale a également décidé la non-résiliation de la convention de partenariat portant sur la supervision déléguée de l’acquisition de vaccins au profit des bureaux d’hygiène, tout en exhortant à nouveau les communes à respecter les dispositions de ladite convention, et ce, compte tenu de son importance en termes de préservation de la santé publique des habitants de la province.
Sur un autre registre, le Conseil provincial a approuvé la résiliation de la convention de partenariat relative à la construction du Centre de renforcement des compétences des acteurs locaux, au niveau de la province, dans l’attente de parvenir à la conclusion d’une nouvelle convention en la matière, qui sera élaborée par l’Agence de développement social (ADS) de Marrakech.
Lors de la seconde séance de cette réunion, il a été procédé à la présentation d’un exposé sur la situation du secteur de l’enseignement au niveau de la province. À cette occasion, le directeur provincial de l’éducation nationale et de la formation professionnelle a passé en revue les données statistiques concernant le nombre d’élèves inscrits au titre de l’année scolaire 2019-2020 au niveau des différents cycles (primaire, secondaire collégial et secondaire qualifiant), outre l’appui social.
Un accent particulier a été mis sur les indicateurs de la scolarisation ainsi que sur les projets futurs, entre autres les nouvelles infrastructures et la mise à niveau des établissements scolaires déjà existants. À l’issue des débats autour de la situation actuelle de l’enseignement au niveau de la province, les conseillers ont été unanimes à souligner l’impératif pour les différents partenaires et intervenants de redoubler d’efforts, afin de tirer vers le haut la qualité de l’enseignement au niveau provincial.
