«Into the Night» fait sensation sur Netflix

La première série belge estampillée Netflix, «Into the Night», ne laisse manifestement personne indifférent. Disponible seulement depuis le 1er mai, sur la plateforme de streaming, elle a séduit un large public international. Elle s’est très vite hissée au rang des 10 programmes les plus vus sur Netflix. Inspirée du roman numérique polonais «The Old Axolotl» de Jacek Dukaj, la série fait sensation. Elle conjugue suspense, action et ambiance de fin du monde. Que du bonheur pour les amateurs de séries post-apocalyptiques. Quelques minutes après le départ de «Into the Night», on est rapidement introduit dans une ambiance d’action et de suspense, avec une pointe de science-fiction apocalyptique. L’histoire est simple, mais pleine d’adrénaline : À bord d’un avion, il n’y a que quinze personnes, dont un preneur d’otages (Stefano Cassetti) qui veut obliger le capitaine (Laurent Capelluto) à mettre le cap vers l’ouest afin de fuir la course du soleil. Son objectif est d’échapper à un soleil meurtrier. Tout le monde est alors embarqué dans une fuite des premiers rayons de l’aube. Ce thriller suscite beaucoup de stress et de tension. Les passagers se retrouvent prisonniers dans leur avion. Malgré les différences et méfiances, ils sont forcés de se confiner ensemble dans l’espace. Ce qui ne risque pas de se passer sans tensions. Outre son histoire, «Into The Night» est aussi fort par un casting international. Il réunit entre autres les Marocains Nabil Mallat dans le rôle de Osman Azizi et Yassine Fadel incarnant le personnage de Nabil. On y trouve des artistes français, belges, italiens, polonais, russes et turcs...
Les réalisateurs de la série, Inti Calfat et Dirk Verheye, ont voulu recréer l’atmosphère d’un avion avec des personnes de diverses origines.
Les acteurs de nationalités différentes sont embarqués dans une course contre la montre permanente. Le seul hic, la première saison de la série éclair se termine en six épisodes chrono !