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Le retrait par la Bolivie de sa reconnaissance de la «république» fantôme, un nouveau coup qui isole davantage le polisario

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L’Agence de presse indépendante argentine «Intelligence Press Agency» a affirmé que la décision du gouvernement bolivien de mettre fin à ses relations avec la «république fantôme» constitue un «nouveau coup» confirmant l’isolement croissant des séparatistes du polisario. Dans un article intitulé «La Bolivie rejoint le rejet international de la pseudo rasd», l’agence a estimé que la décision du gouvernement de la présidente bolivienne par intérim, Jeanine Añez, de mettre fin aux illusions politiques et idéologiques qui étaient imposées auparavant, a conduit au «retrait de la reconnaissance diplomatique d’une entité fictive».
L’auteur de l’article, l’universitaire argentin Adalberto Carlos Agozino, qui a rappelé les circonstances de la création de cette illusion en Amérique latine, a relevé que la situation a radicalement changé et que «le soutien aux séparatistes du polisario s’était progressivement effondré et que ce qui avait commencé comme une goutte s’est rapidement transformé en une cascade de rejet diplomatique» de la pseudo rasd. Le retrait de la reconnaissance des séparatistes, l’abandon de leur soutien et la rupture des relations avec la république factice vont de pair avec une reconnaissance concrète de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud, rappelant à cet égard l’ouverture par un certain nombre de pays de leurs consulats dans cette partie intégrante du Royaume.
L’expert en relations internationales a souligné que ces succès, obtenus grâce à la diplomatie marocaine conduite par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ont mis fin aux illusions du polisario, ajoutant que «l’isolement international croissant des séparatistes est évident». L’auteur de l’article a expliqué que ce changement d’alliances diplomatiques n’est pas une coïncidence, mais est plutôt le produit de «l’importance internationale croissante du Maroc», qui a retrouvé sa place naturelle au sein l’Union africaine, rappelant la position et l’admiration dont jouit S.M. le Roi, «Leader de l’Union africaine sur la question de la migration, Président du Comité Al-Qods et ardent défenseur de la protection de la planète». 

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