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Alger et sa marionnette, le «Polisario», ont tenté en vain de faire de la zone de Guergarate un champ de bataille, après l’obstruction temporaire du passage qui relie le Royaume du Maroc et la République islamique de Mauritanie. Ils espéraient ainsi fouler le tapis rouge, après avoir franchi toutes les lignes rouges. Leur tentative malheureuse était pourtant vouée à l’échec. C’est ce qui a été confirmé sur le terrain, grâce à la bonne gestion du dossier par le Maroc qui a débarrassé la communauté internationale d’une situation problématique, provoquée par des hors-la-loi, se comportant en bandits des grands chemins, insensibles aux interpellations et mises en garde internationales et onusiennes. Si tous nous connaissons l’existence de la maladie du daltonisme, le polisario souffre quant à lui d’une autre maladie, la surdité. Il n’entend que la voix de ses maîtres, ce qui le pousse vers l’interdit et finit par les démasquer devant les yeux du monde. Pour sa part et fort de sa légitimité, le Maroc a géré cette situation, bien qu’illégale et anormale, avec sagesse et retenue. Mais après que la communauté internationale a épuisé toutes les tentatives pour rappeler les égarés à la raison, le Royaume a pris ses responsabilités et fait ce qu’il avait à faire, mettant fin à une crise provoquée artificiellement et soulageant cette même communauté internationale. Pour preuve, une vague de témoignages de plusieurs dizaines de pays, saluant la sagesse et le leadership de S.M. le Roi, Chef suprême des F.A.R, la manière avec laquelle le passage de Guergarate a été nettoyé et le retour à la normale.
Nous disons au monde entier, exceptée cette infime minorité qui défend le maître et sa marionnette, que le retour au calme est effectif. Nous avons dit adieu à 2020 et accueillons 2021 et Guergarate est désormais une zone d’amour, assurant les déplacements entre frères au Royaume du Maroc et en République islamique de Mauritanie et permettant les échanges commerciaux entre l’Afrique et le reste du monde. Un amour dans sa plus noble acception que les adversaires ne peuvent comprendre, car aveuglés par leurs desseins de pousser la région vers les tensions et chaos. Ils ne peuvent imaginer cette zone que comme un espace de guerre et d’insécurité. C’est ce qui explique leur recours constant aux mensonges et aux allégations, à travers la machine de propagande algérienne qui s’imagine vivre encore dans un monde révolu. Ceux-ci ont troqué l’amour contre la guerre pour s’auto-consoler, oubliant que tous les pays qui ont des relations commerciales avec les pays d’Afrique subsaharienne suivent les itinéraires de leurs marchandises vers ces pays et ne peuvent accepter qu’une horde de hors-la-loi puisse entraver ces échanges commerciaux. À eux nous disons : vous pouvez continuer à distiller vos mensonges. Ils ne trompent plus personne. Le Royaume, fidèle à ses positions constantes, croit en sa cause et en ses capacités à la défendre. Il ne cédera pas à l’aventurisme et ne sera pas entraîné dans votre marais. Continuez à entretenir vos illusions que Guergarate est une zone de guerre, au moment où le monde la voit comme une région d’amour, une région d’échanges et de communication entre frères, cousins et amis du monde entier. Les échanges humains et commerciaux ont bel et bien repris pour ne plus s’arrêter, au grand dam de ceux qui œuvrent et conspirent pour le contraire, et ce depuis la fuite des milices commanditées. Tout ceci est documenté par le son et l’image et partagé par les médias sociaux et les sites Web. La seule et unique consolation qui leur reste est le mensonge et l’imposture.
Qui vivra verra.
