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D’Oum Kalthoum à Dalida, hommage aux divas de la chanson et du cinéma arabes

Après plusieurs mois de fermeture, l’Institut du monde arabe (IMA) rouvre ses portes au public, avec une grande exposition-évènement baptisée «Divas, d’Oum Kalthoum à Dalida» qui se veut un voyage à travers l’âge d’or du cinéma et de la chanson arabes, et une découverte en musique et en images du destin de ces femmes de légende des années 1920 aux années 1970. À travers cet évènement de grande facture qui s’étalera jusqu’au 26 septembre, l’Institut du monde arabe rend «un hommage unique» aux plus grandes artistes femmes de la musique et du cinéma arabes du XXe siècle, souligne-t-on auprès de l’IMA. L’exposition dresse les portraits épiques et étonnants des divas de l’«âge d’or» de la chanson et du cinéma arabes, à travers un parcours abondamment nourri de photographies d’époque, souvent inédites, d’extraits de films ou de concerts mythiques, d’affiches cinématographiques au graphisme glamour, de magnifiques robes de scène, d’objets personnels et d’interviews rares... S.Ba.


«Redemption Day» de Hicham Hajji à l’honneur aux États-Unis
Il est le tout premier Marocain à écrire, produire et réaliser un long métrage hollywoodien. Son film «Redemption Day» est à l’affiche de la douzième édition du NYC Independent Film Festival. Hicham Hajji s’envolera cette semaine aux États-Unis pour prendre part à la diffusion de son thriller d’action prévue le 8 juin prochain. Sorti en janvier dernier, le film raconte l’histoire de Kate Paxton (rôle interprété par Serinda Swan), une archéologue américaine qui se rend au Maroc après la découverte des plus vieux ossements humains dans la région de Youssoufia. Son travail de recherche la conduit vers la frontière algérienne, où elle se fait kidnapper par un groupe terroriste dirigé par Jaafar El Hadi (rôle tenu par le célèbre Franco-Algérien Samy Naceri). Son mari, Brad Paxton (incarné par Gary Dourdan), commence alors une longue aventure pour sa libération. Tourné entre les États-Unis et le Maroc, notamment à Merzouga, Marrakech, Rabat et Casablanca, le film réunit également d’autres célébrités comme Robert Knepper, Ernie Hudson et Martin Donovan. S.Ba.


«Bnat El Assass» : Le public veut une 2e partie

Beaucoup de voix se sont élevées sur les réseaux sociaux appelant à réaliser une deuxième partie de la série télévisée «Bnal El Assass» (les filles du gardien). Son réalisateur, Driss Roukh, a indiqué avoir reçu de nombreux messages lui demandant de penser à donner une suite aux événements de la série qui a trouvé un bon écho chez les téléspectateurs marocains. Le réalisateur a même tenu à partager ces messages dans lesquels les internautes affirment que les événements de l’histoire se prêteraient bien à une deuxième partie. D’autres ont, par contre, estimé que la fin de l’histoire est convenable et logique avec beaucoup de scènes dramatiques qui ont touché le public. À noter que selon l’indicateur de mesure de référence de l’audience de la télévision, Marocmétrie, la série a cumulé un nombre de 8 millions de vues. Une réussite que même le réalisateur de la série qualifie de surprenante. «Le succès de la série a dépassé toutes nos espérances. Cette réussite est surtout due à la mobilisation de l’ensemble des équipes de travail, à commencer par l’idée de la série, le scénario, le choix des acteurs, le tournage…», s’est félicité Driss Rokh. Pour sa part, la scénariste Bouchra Malek a indiqué que l’idée d’une deuxième partie reste improbable, car elle risque d’embrouiller les événements de l’histoire. Affaire à suivre ! S.Ba.

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