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Rendez-vous culturels

Rendez-vous culturels

«Taroo» : une résidence de cirque contemporain

En résidence à l’Institut français de Casablanca jusqu’au 8 mai, la Cie Zid investit le jardin de l’Institut français de Casablanca pour une résidence de recherche et de création du projet de cirque contemporain «Taroo». Il s’agit d’un spectacle pluridisciplinaire entre cirque, parkour, acrobatie, détournement d’objets et magie, avec pour seul objet : un «taroo» (une poubelle en darija).
Un éboueur se promène avec sa poubelle verte et ramasse des déchets. Sur son passage, il interpelle les gens sur la distance entre leurs ordures, eux et la poubelle, ou sur certaines choses qui ont tendance à les mettre en colère. Lui, cet éboueur que personne ne regarde, dont tout le monde se moque parce qu’il pue, parce qu’il est sale, ou parce que ce qu’il fait personne d’autre ne veut le faire. 


La Cigogne Volubile de retour

Initiée par l’Institut français de Meknès, la Cigogne Volubile – Printemps des livres jeunesse du Maroc déploie ses ailes sur l’ensemble du réseau de l’Institut français du Maroc et cible un public de 4 à 12 ans. La dixième édition se tiendra les 3, 4 et 5 juin 2021 autour du thème «Le droit à la différence».
Temps fort de la saison culturelle France-Maroc sur la découverte de la littérature jeunesse, la Cigogne Volubile est jalonnée de rencontres, d’ateliers de création, de projets de classe, d’expositions, de spectacles et de contes. Le programme sera hybride, proposé à la fois sur place dans les Instituts du réseau et à distance via les technologies numériques. 


Une belle exposition pour voir la vie en rouge, bleu et jaune !

L’espace d’art Artorium accueille actuellement l’exposition «Primary colors» qui donne à voir quelques œuvres de la collection de la Fondation TGCC. «Primary colors» a été pensée pour plonger les visiteurs dans un monde polychrome où chaque couleur primaire, le rouge, le bleu, le jaune, a été traitée de manière différente par l’ensemble des artistes représentés.
Les œuvres, acquises durant les 30 dernières années, font également voyager dans une partie de l’histoire de l’art au Maroc en racontant les peintres qui ont fait cette histoire. Les pionniers de l’abstraction d’abord avec Gharbaoui et Cherkaoui, mais aussi leurs successeurs, Kacimi, Miloud ou encore des artistes plus récents comme Hassani ou Binebine, entre autres. 

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