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Organisée par le conseil de l'Arrondissement Rabat-Hassan, cette initiative vise à encourager la créativité des jeunes et les sensibiliser à l'importance de la protection de l'environnement.
Placée sous le thème «L'avenir de notre environnement dépend du comportement de nos enfants», le festival a choisi cette année de célébrer le 40e anniversaire de la Journée de la Terre à travers une mise en scène inédite. En effet, plus de 1 700 enfants appartenant à différents établissements scolaires ont pu prendre part à un carnaval organisé lors de l'ouverture de cet événement. Portant des costumes qui représentent la faune et la flore, ces jeunes ont traduit à travers 7 tableaux représentatifs la situation de la nature dans son état pur, à savoir avant l'intervention de la race humaine.
Une intervention qui a eu pour
conséquence la dégradation de l'environnement. Ainsi des enfants âgés de 8 à12 ans ont exprimé leur bonheur de pouvoir participer à un tel événement.
Le défilé a démarré donc à partir de la grande place Bab El Had dans une ambiance de joie et de festivités avant d'arpenter l'artère principale de la capitale, à savoir l'avenue Mohammed V pour prendre fin à la place de la Grande Poste où les enfants ont exécuté des danses et entonné des chansons qui expriment leur attachement à la protection de l`environnement.
Dans une déclaration accordée au Matin, le président du conseil de l'Arrondissement Rabat Hassan, Driss Razi, a souligné que l'organisation de ce festival s'inscrit dans le cadre des programmes culturel, social et
sportif élaborés au profit de l'enfant.
Il a ajouté que ce festival est organisé chaque année pour permettre aux enfants de s'exprimer sur divers domaines et mettre en valeur leurs talents. Des talents que les enfants ont bien su mettre en valeur à travers des tableaux qui ont marqué un public venu nombreux pour assister à cet événement riche en expressions artistiques.
Dans un cortège haut en couleur, les acteurs en herbe ont représenté donc la diversité de l'écosystème avec sa faune et sa flore mais également la pollution à laquelle il fait face. « Le but de notre tableau est de montrer que c'est l'homme qui est à l'origine de la dégradation de la nature. Depuis son arrivée, l'homme n'a de cesse d'édifier des usines dont l'activité n'a pas respecté toujours l'environnement. Il a également contribué à la pollution de l'air à cause de son utilisation abusive des voitures émettant des gaz à effets de serre. Son intervention a contribué à rompre l'équilibre de l'écosystème.
Aujourd'hui, il est temps qu'il change de comportement et qu il adopte de nouvelles attitudes respectant la nature. L`homme doit par exemple exploiter de nouvelles énergies qui ne portent pas atteinte à l'environnement notamment l'énergie solaire». Ces propos émanent de Asmae, une jeune fille âgée de 12 ans, l'une des participantes au carnaval. A l'image de sa réflexion développée,
Asmae a opté pour un déguisement très expressif. Habillés en arbre, elle et ses collègues venus du collège Kenza, espéraient traduire la nouvelle naissance de la nature, prévue une fois que l'homme aurait changé de comportement. Il s'agit d'une vision futuriste pleine d'espoir visant à encourager l'homme à changer d'attitude. En effet, à travers des déguisements créatifs et des décors inédits, les enfants ont pu donner un spectacle riche en images et en symboles de la terre polluée et par la suite de l'environnement sain. Des acrobaties ont été effectuées par des enfants de l'école de Souissi qui ont également chanté des morceaux musicaux.
Placée sous le thème «L'avenir de notre environnement dépend du comportement de nos enfants», le festival a choisi cette année de célébrer le 40e anniversaire de la Journée de la Terre à travers une mise en scène inédite. En effet, plus de 1 700 enfants appartenant à différents établissements scolaires ont pu prendre part à un carnaval organisé lors de l'ouverture de cet événement. Portant des costumes qui représentent la faune et la flore, ces jeunes ont traduit à travers 7 tableaux représentatifs la situation de la nature dans son état pur, à savoir avant l'intervention de la race humaine.
Une intervention qui a eu pour
conséquence la dégradation de l'environnement. Ainsi des enfants âgés de 8 à12 ans ont exprimé leur bonheur de pouvoir participer à un tel événement.
Le défilé a démarré donc à partir de la grande place Bab El Had dans une ambiance de joie et de festivités avant d'arpenter l'artère principale de la capitale, à savoir l'avenue Mohammed V pour prendre fin à la place de la Grande Poste où les enfants ont exécuté des danses et entonné des chansons qui expriment leur attachement à la protection de l`environnement.
Dans une déclaration accordée au Matin, le président du conseil de l'Arrondissement Rabat Hassan, Driss Razi, a souligné que l'organisation de ce festival s'inscrit dans le cadre des programmes culturel, social et
sportif élaborés au profit de l'enfant.
Il a ajouté que ce festival est organisé chaque année pour permettre aux enfants de s'exprimer sur divers domaines et mettre en valeur leurs talents. Des talents que les enfants ont bien su mettre en valeur à travers des tableaux qui ont marqué un public venu nombreux pour assister à cet événement riche en expressions artistiques.
Dans un cortège haut en couleur, les acteurs en herbe ont représenté donc la diversité de l'écosystème avec sa faune et sa flore mais également la pollution à laquelle il fait face. « Le but de notre tableau est de montrer que c'est l'homme qui est à l'origine de la dégradation de la nature. Depuis son arrivée, l'homme n'a de cesse d'édifier des usines dont l'activité n'a pas respecté toujours l'environnement. Il a également contribué à la pollution de l'air à cause de son utilisation abusive des voitures émettant des gaz à effets de serre. Son intervention a contribué à rompre l'équilibre de l'écosystème.
Aujourd'hui, il est temps qu'il change de comportement et qu il adopte de nouvelles attitudes respectant la nature. L`homme doit par exemple exploiter de nouvelles énergies qui ne portent pas atteinte à l'environnement notamment l'énergie solaire». Ces propos émanent de Asmae, une jeune fille âgée de 12 ans, l'une des participantes au carnaval. A l'image de sa réflexion développée,
Asmae a opté pour un déguisement très expressif. Habillés en arbre, elle et ses collègues venus du collège Kenza, espéraient traduire la nouvelle naissance de la nature, prévue une fois que l'homme aurait changé de comportement. Il s'agit d'une vision futuriste pleine d'espoir visant à encourager l'homme à changer d'attitude. En effet, à travers des déguisements créatifs et des décors inédits, les enfants ont pu donner un spectacle riche en images et en symboles de la terre polluée et par la suite de l'environnement sain. Des acrobaties ont été effectuées par des enfants de l'école de Souissi qui ont également chanté des morceaux musicaux.
