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Pour une société cotée en Bourse, la communication peut se faire partout et n'importe quand, au-delà des rendez-vous classiques des publications semestrielles ou annuelles. Après Cartier Saada, c'est au tour de Timar, le spécialiste du transport et de la logistique, de faire le point sur trois années de vie boursière. Cotée au marché casablancais depuis le 17 juillet 2007, son titre a enregistré une progression supérieure à celle de l'indice global de la place, passant de 350 à 415 DH, soit une évolution de 19% (contre 8% pour le Masi sur la même période). Lors d'une rencontre tenue jeudi 2 décembre à Casablanca, le management s'est longuement arrêté sur les réalisations de l'entreprise, tous segments confondus.
Ainsi, dans le transport international, le nombre des expéditions est passé de 27.651 à 27.935 entre 2007 et 2009. En matière de transit, le nombre des déclarations traitées a progressé de 6.115 à 8.397, soit un taux de croissance annuel moyen de 17% sur la même période. En trois ans, son chiffre d'affaires global affiche une progression moyenne de 9%, s'élevant à 133 millions de DH, en ligne avec les promesses engagées lors de l'introduction en Bourse. De même pour le résultat net qui s'est nettement amélioré, passant de 3,1 à 8,1 millions de DH entre 2007 et 2009. De ce fait, les capitaux propres ont évolué au rythme de la constatation des résultats réalisés. Sachant que les investissements de Timar ont été financés, en majorité, en crédit-bail. 2010 a connu l'acquisition de matériels de transport et de deux logiciels pour la comptabilité (Sage) et pour le transport (Aeolus). Les investissements prévus pour 2011 concernent de nouvelles remorques, des tracteurs et l'équipement du nouvel entrepôt de Casablanca en clarks. Le montant qui sera alloué aux investissements entre 2012 et 2013 se chiffre à 8 millions de DH.
Par ailleurs, Timar compte se positionner sur la zone franche adossée au complexe portuaire Tanger Med, une filiale sera créée à cet effet, portant le nom de Timar Tanger Méditerranée. Le projet sera installé sur une surface de 3000 mètres carrés (location) dans la zone logistique du port. Le management estime à 7 millions de DH le besoin en financement lié à ce projet. Lequel financement se fera par un apport de la maison mère en capital ou en compte courant. Cet apport sera financé soit en fonds propres soit par crédit bancaire. La nouvelle filiale sera amenée à proposer les services de logistique et de gestion des stocks aux fournisseurs étrangers contraints de préserver un stock tampon au Maroc, et ce parallèlement à l'installation de plusieurs groupes industriels sur la zone franche et sur le port de Tanger Med (Renault, Delphi, Yazaki, etc).
Ainsi, dans le transport international, le nombre des expéditions est passé de 27.651 à 27.935 entre 2007 et 2009. En matière de transit, le nombre des déclarations traitées a progressé de 6.115 à 8.397, soit un taux de croissance annuel moyen de 17% sur la même période. En trois ans, son chiffre d'affaires global affiche une progression moyenne de 9%, s'élevant à 133 millions de DH, en ligne avec les promesses engagées lors de l'introduction en Bourse. De même pour le résultat net qui s'est nettement amélioré, passant de 3,1 à 8,1 millions de DH entre 2007 et 2009. De ce fait, les capitaux propres ont évolué au rythme de la constatation des résultats réalisés. Sachant que les investissements de Timar ont été financés, en majorité, en crédit-bail. 2010 a connu l'acquisition de matériels de transport et de deux logiciels pour la comptabilité (Sage) et pour le transport (Aeolus). Les investissements prévus pour 2011 concernent de nouvelles remorques, des tracteurs et l'équipement du nouvel entrepôt de Casablanca en clarks. Le montant qui sera alloué aux investissements entre 2012 et 2013 se chiffre à 8 millions de DH.
Par ailleurs, Timar compte se positionner sur la zone franche adossée au complexe portuaire Tanger Med, une filiale sera créée à cet effet, portant le nom de Timar Tanger Méditerranée. Le projet sera installé sur une surface de 3000 mètres carrés (location) dans la zone logistique du port. Le management estime à 7 millions de DH le besoin en financement lié à ce projet. Lequel financement se fera par un apport de la maison mère en capital ou en compte courant. Cet apport sera financé soit en fonds propres soit par crédit bancaire. La nouvelle filiale sera amenée à proposer les services de logistique et de gestion des stocks aux fournisseurs étrangers contraints de préserver un stock tampon au Maroc, et ce parallèlement à l'installation de plusieurs groupes industriels sur la zone franche et sur le port de Tanger Med (Renault, Delphi, Yazaki, etc).
