Connexion
Sa Majesté le Roi Mohammed VI a présidé, le 6 janvier à Agadir, la cérémonie de signature d'une convention de partenariat industriel stratégique entre le Maroc et le groupe français Alstom. Ses signataires sont le ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Reda Chami et le ministre de l'Equipement et du transport, Karim Ghellab ainsi que le PDG d'Alstom, Patrick Kron. Portant sur des engagements d'investissement de 9,5 milliards DH, ce partenariat est porteur de nombreuses opportunités. Il devra aussi permettre la création de quelque 5.000 emplois durant les dix prochaines années.
A titre indicatif, Alstom s'engage à acquérir, au cours de cette période, des équipements destinés notamment aux usines d'assemblage de matériels roulants et équipements ferroviaires européens auprès des fournisseurs marocains pour un montant allant jusqu'à 6 milliards DH (535 millions d'euros). C'est que le groupe français aspire à devenir le partenaire ferroviaire industriel de référence au Maroc et lorgne d'autres domaines comme l'énergie, le transport, les équipements agricoles et l'industrie minière.
Alstom compte aussi investir dans une unité industrielle nouvelle devant opérer dans les domaines électrique et électronique. Laquelle devra réaliser 3,5 milliards de DH (310 millions d'euros) d'exportations et conclure un contrat avec une société d'offshoring installée au Maroc pour créer 65 postes d'emploi dans l'assistance informatique.
Par ailleurs, le groupe s'est engagé à s'ouvrir aux universités marocaines et participer, avec ses partenaires marocains, à la création et l'animation d'un institut de formation aux métiers ferroviaires.
Pour concrétiser les projets annoncés, les premières actions seront engagées dès 2011 pour devenir pleinement opérationnelles en 2012, a assuré le PDG d'Alstom, Patrick Kron. Les signataires ont tous qualifié le partenariat scellé d'« équilibré » et de « gagnant-gagnant ». Le ministre Ahmed Reda Chami a déclaré à l'occasion que le groupe Alstom bénéficiera « d'une plateforme d'activités ferroviaires dans la production mais aussi dans la maintenance dont le rayonnement s'étendra au-delà de nos frontières vers les pays d'Afrique et du Moyen-Orient ». Et d'ajouter : « les engagements du groupe français Alstom pour accompagner l'émergence de la filière ferroviaire au Maroc contribueront à faire du Royaume une plateforme d'approvisionnement stratégique «Best Cost» alliant des prix compétitifs à la proximité des principaux sites d'assemblage européens ».
Pour rappel, Alstom est déjà un investisseur de référence au Maroc où le groupe a décroché des contrats dans le domaine du transport pour un chiffre d'affaires contractuel de 646 millions d'euros. Parmi ses clients marocains figurent, outre l'ONCF, l'Agence pour l'aménagement de la vallée de Bouregreg dans le cadre du projet du Tramway de Rabat et Casa-Transport.
A titre indicatif, Alstom s'engage à acquérir, au cours de cette période, des équipements destinés notamment aux usines d'assemblage de matériels roulants et équipements ferroviaires européens auprès des fournisseurs marocains pour un montant allant jusqu'à 6 milliards DH (535 millions d'euros). C'est que le groupe français aspire à devenir le partenaire ferroviaire industriel de référence au Maroc et lorgne d'autres domaines comme l'énergie, le transport, les équipements agricoles et l'industrie minière.
Alstom compte aussi investir dans une unité industrielle nouvelle devant opérer dans les domaines électrique et électronique. Laquelle devra réaliser 3,5 milliards de DH (310 millions d'euros) d'exportations et conclure un contrat avec une société d'offshoring installée au Maroc pour créer 65 postes d'emploi dans l'assistance informatique.
Par ailleurs, le groupe s'est engagé à s'ouvrir aux universités marocaines et participer, avec ses partenaires marocains, à la création et l'animation d'un institut de formation aux métiers ferroviaires.
Pour concrétiser les projets annoncés, les premières actions seront engagées dès 2011 pour devenir pleinement opérationnelles en 2012, a assuré le PDG d'Alstom, Patrick Kron. Les signataires ont tous qualifié le partenariat scellé d'« équilibré » et de « gagnant-gagnant ». Le ministre Ahmed Reda Chami a déclaré à l'occasion que le groupe Alstom bénéficiera « d'une plateforme d'activités ferroviaires dans la production mais aussi dans la maintenance dont le rayonnement s'étendra au-delà de nos frontières vers les pays d'Afrique et du Moyen-Orient ». Et d'ajouter : « les engagements du groupe français Alstom pour accompagner l'émergence de la filière ferroviaire au Maroc contribueront à faire du Royaume une plateforme d'approvisionnement stratégique «Best Cost» alliant des prix compétitifs à la proximité des principaux sites d'assemblage européens ».
Pour rappel, Alstom est déjà un investisseur de référence au Maroc où le groupe a décroché des contrats dans le domaine du transport pour un chiffre d'affaires contractuel de 646 millions d'euros. Parmi ses clients marocains figurent, outre l'ONCF, l'Agence pour l'aménagement de la vallée de Bouregreg dans le cadre du projet du Tramway de Rabat et Casa-Transport.
