En dépit de leur proximité culturelle et géographique, ce sont, en effet, des marchés différents les uns des autres, qui ont leurs codes, leurs pratiques et leurs réseaux propres.
Une référence et une alternative
Mais ce développement sur l’Afrique est souhaité par certains cabinets internationaux déjà installés au Maroc.
Le rôle joué depuis quelque temps par les autorités marocaines et nombre de ses institutions financières ou opérateurs économiques (travaux publics, immobilier, banques et assurances, etc.)
en Afrique francophone, conjugué à la référence et à l’alternative géopolitique que le Royaume représente de plus en plus pour certains pays africains à la recherche d’un affranchissement du « parrainage » français, font effectivement de la plateforme marocaine un positionnement idéal. Ceci rejoint, d’ailleurs, les ambitions du projet de Casablanca Finance City qui entend faire de la capitale économique du Royaume un hub financier qui rayonnera sur toute la zone d’Afrique du Nord et de l’Ouest.