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La suspension par le Bureau fédéral de l'ex-président du WASK (Wydad Kelâa Sraghna) pour propos injurieux et comportement anti-sportif a remis sur scène l'attitude de certains dirigeants qui, en principe, devront donner l'exemple en matière de comportement.
Quand est-ce que nos dirigeants comprendront que la Fédération royale marocaine est l'institution suprême qui gère le sport dont elle est responsable dans notre pays? Pour ceux qui n'arrivent pas à l'assimiler encore, elle est le chef hiérarchique des clubs. Et pour ceux qui ne le comprennent pas encore, manquer du respect au chef hiérarchique équivaut à se faire taper sur les doigts. Car il y a d'autres moyens pour dénoncer un abus… L'ex-président du Wydad Kelâa Sraghna ne l'a pas compris: le comité directeur de la FRMR s'est chargé de le lui rappeler.
Réunis dans la Maison des jeunes de «Kelâa» comme l'appellent affectueusement les habitants, les membres du bureau, les joueurs et les sympathisants se sont passé le mot pour se solidariser avec le club fanion de leur ville. D'autant plus que le gouverneur de la province, Mohamed Jelmous, sportif invétéré, ne cesse de soutenir les sportifs dans sa province, abstraction faite de la discipline.
Sa participation dans l'application des directives inhérentes à l'INDH font de lui un personnage incontournable. Le gouverneur de la province, ex-footballeur, a dû faire dans sa jeunesse le choix entre poursuivre une carrière sportive ou celle des études. Et il n'est nul besoin d'être Einstein pour comprendre le choix de Jelmous-père. Pas question de suivre le sport! Un diplôme est la police d'assurance contre l'impondérable de l'avenir.
Pour en revenir à l'assemblée générale, les murs de la Maison des jeunes de Kelâa doivent résonner encore des discussions ombrageuses et des interventions répétées et incessantes du président de la séance, Kamal El Haddad, et le délégué de la Jeunesse au Kelâa, Abdelaaziz Bâaziz, pour expliquer ou ramener le calme dans la salle.
Les discussions étaient axées sur les questions: qui doit voter? Est-ce une assemblée ordinaire ou celle extraordinaire ? L'ordre du jour? Le président élu devra-t-il choisir son équipe ou ce sont les membres qui devront voter pour les postes un par un? Les joueurs ont-ils le droit de voter?
En tous les cas, tous ces problèmes ont été ‘'aplanis'' grâce à l'intervention judicieuse, mais tout à fait neutre, du président de la Fédération royale marocaine de rugby, Saïd Bouhajeb, accompagné de Mohamed Bouseroual, grand sympathisant du rugby national.
Le rugby national est mis sur les rails! Tous ceux qui sont pour le changement seront les bienvenus. Ceux qui sont contre, le train n'attendra pas!
Après moult discussions et interventions, ‘'l'assemblée souveraine'' a opté pour le choix d'un président. Ce fut Youssef Sraïdi qui sera élu à l'unanimité. Ce dernier, pour ne pas s'attirer les foudres des mécontents, conseilla aux membres du comité d'élire, poste par poste, tous les prétendants.
D'ailleurs, cette façon de faire va éliminer l'ex-secrétaire général, Abdelkarim Amimi, qui a crié au complot! D'ailleurs, un membre de l'assistance rappela à celui colérique que «c'est le ‘'danger de la démocratie''. Tu n'a eu que 2 ou 3 voix!».
Cette procédure a eu pour résultat le bureau suivant:
Président : Youssef Sraïdi, Vice-présidents : Redouane El Haddad et Abderrazak Lime, Secrétaire général : Hassan Mahfoud, Secrétaire Adjoint : Abdelkader Lafreikhi, Trésorier général : Zine El Abidine Maatouf, Trésorier adjoint : El Mostapha Hormatallah, Assesseurs : Aziz El Azzouzi, Abdelkarim Amimi, Samir Abdelaaziz, Rahal El Hams, Abdelhafid Al Moustaaid Billah et Abderrahmane El Harchi.
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Respect mutuelLors de l'assemblée générale de la Fédération royale marocaine de rugby, électrice du tiers sortant et qui s'est déroulée récemment à Témara, le président, Bouhajeb, a mis l'accent sur l'importance du respect qui devra marquer les relations entre les membres de la famille du rugby. Sans ce respect, rien ne sera possible.
C'est dans ce contexte que lors de l'assemblée du WASK, le cas de son ex-président a été soulevé et certains membres de l'assistance ont demandé au président de la FRMR de penser à l'amnistie.
Ce à quoi il a répondu que le rugby a besoin de tous ses membres. Et que l'attitude de l'ex-président du WASK a offensé tous les membres de la FRMR. Laissons au temps la possibilité de panser les blessures.
Quand est-ce que nos dirigeants comprendront que la Fédération royale marocaine est l'institution suprême qui gère le sport dont elle est responsable dans notre pays? Pour ceux qui n'arrivent pas à l'assimiler encore, elle est le chef hiérarchique des clubs. Et pour ceux qui ne le comprennent pas encore, manquer du respect au chef hiérarchique équivaut à se faire taper sur les doigts. Car il y a d'autres moyens pour dénoncer un abus… L'ex-président du Wydad Kelâa Sraghna ne l'a pas compris: le comité directeur de la FRMR s'est chargé de le lui rappeler.
Réunis dans la Maison des jeunes de «Kelâa» comme l'appellent affectueusement les habitants, les membres du bureau, les joueurs et les sympathisants se sont passé le mot pour se solidariser avec le club fanion de leur ville. D'autant plus que le gouverneur de la province, Mohamed Jelmous, sportif invétéré, ne cesse de soutenir les sportifs dans sa province, abstraction faite de la discipline.
Sa participation dans l'application des directives inhérentes à l'INDH font de lui un personnage incontournable. Le gouverneur de la province, ex-footballeur, a dû faire dans sa jeunesse le choix entre poursuivre une carrière sportive ou celle des études. Et il n'est nul besoin d'être Einstein pour comprendre le choix de Jelmous-père. Pas question de suivre le sport! Un diplôme est la police d'assurance contre l'impondérable de l'avenir.
Pour en revenir à l'assemblée générale, les murs de la Maison des jeunes de Kelâa doivent résonner encore des discussions ombrageuses et des interventions répétées et incessantes du président de la séance, Kamal El Haddad, et le délégué de la Jeunesse au Kelâa, Abdelaaziz Bâaziz, pour expliquer ou ramener le calme dans la salle.
Les discussions étaient axées sur les questions: qui doit voter? Est-ce une assemblée ordinaire ou celle extraordinaire ? L'ordre du jour? Le président élu devra-t-il choisir son équipe ou ce sont les membres qui devront voter pour les postes un par un? Les joueurs ont-ils le droit de voter?
En tous les cas, tous ces problèmes ont été ‘'aplanis'' grâce à l'intervention judicieuse, mais tout à fait neutre, du président de la Fédération royale marocaine de rugby, Saïd Bouhajeb, accompagné de Mohamed Bouseroual, grand sympathisant du rugby national.
Le rugby national est mis sur les rails! Tous ceux qui sont pour le changement seront les bienvenus. Ceux qui sont contre, le train n'attendra pas!
Après moult discussions et interventions, ‘'l'assemblée souveraine'' a opté pour le choix d'un président. Ce fut Youssef Sraïdi qui sera élu à l'unanimité. Ce dernier, pour ne pas s'attirer les foudres des mécontents, conseilla aux membres du comité d'élire, poste par poste, tous les prétendants.
D'ailleurs, cette façon de faire va éliminer l'ex-secrétaire général, Abdelkarim Amimi, qui a crié au complot! D'ailleurs, un membre de l'assistance rappela à celui colérique que «c'est le ‘'danger de la démocratie''. Tu n'a eu que 2 ou 3 voix!».
Cette procédure a eu pour résultat le bureau suivant:
Président : Youssef Sraïdi, Vice-présidents : Redouane El Haddad et Abderrazak Lime, Secrétaire général : Hassan Mahfoud, Secrétaire Adjoint : Abdelkader Lafreikhi, Trésorier général : Zine El Abidine Maatouf, Trésorier adjoint : El Mostapha Hormatallah, Assesseurs : Aziz El Azzouzi, Abdelkarim Amimi, Samir Abdelaaziz, Rahal El Hams, Abdelhafid Al Moustaaid Billah et Abderrahmane El Harchi.
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Respect mutuelLors de l'assemblée générale de la Fédération royale marocaine de rugby, électrice du tiers sortant et qui s'est déroulée récemment à Témara, le président, Bouhajeb, a mis l'accent sur l'importance du respect qui devra marquer les relations entre les membres de la famille du rugby. Sans ce respect, rien ne sera possible.
C'est dans ce contexte que lors de l'assemblée du WASK, le cas de son ex-président a été soulevé et certains membres de l'assistance ont demandé au président de la FRMR de penser à l'amnistie.
Ce à quoi il a répondu que le rugby a besoin de tous ses membres. Et que l'attitude de l'ex-président du WASK a offensé tous les membres de la FRMR. Laissons au temps la possibilité de panser les blessures.
