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Les militaires se sont, en effet, contentés d'un simple nul zéro partout face à l'AS de Salé qui a retrouvé sa place parmi l'élite après une année au purgatoire. Cependant, assure-t-on auprès du staff technique militaire, l'équipe des FAR est encore en rodage tant sur le plan physique qu'au niveau des automatismes. D'ailleurs, tous les grands clubs n'ont pas brillé au cours de la première journée. Toutefois, le cas de la formation militaire est un peu particulier.
Car les joueurs des FAR avaient débuté tôt la préparation avec notamment le tournoi «Summer Cup» suivi de la finale de la Coupe du Trône. «Je suis venu en pleine préparation. On a fait presque dix matchs, dont un officiel (finale de la Coupe). Donc, les joueurs n'avaient pas un temps suffisant de récupération après la fin de la saison», confie M'hamed Fakhir, l'entraîneur des FAR. Et de préciser que : «l'équipe est désormais prête à 60%, 65%». Le coach de la formation militaire espère toutefois que le manque de repos n'affecte pas le rendement des joueurs.
«On a préparé cette saison dans de bonnes conditions. J'ai fait tourner un peu l'effectif avant de donner aux joueurs un petit répit pour qu'ils puissent récupérer. J'espère qu'on n'aura pas de passage à vide en début ou en milieu de saison», poursuit M.Fakhir. Reprenant les commandes de l'équipe militaire en fin de saison 2007-2008, l'actuel coach des FAR devra tout faire pour permettre à cette formation de rester au somment du football national tout en se méfiant des outsiders. Actuellement, les équipes casablancaises, le Raja ou le Wydad, sont lassées de jouer les seconds rôles. Ces deux clubs ont récemment procédé à de grands changements notamment dans l'encadrement et ce, afin de pouvoir détrôner l'actuel champion. Alors que le Raja a fait appel à José Romao pour donner un souffle neuf à l'équipe, le WAC a, pour sa part, engagé un ancien vétéran des Wydadi, Badou Zaki pour permettre aux «Rouges» de retrouver leur punch.
Par ailleurs, la formation militaire ne devra toutefois pas sous-estimer les équipes comme l'Olympique Khouribga, Difaâ El Jadida, Moghreb Tétouan ou encore l'Ittihad Zemmouri. Le championnat s'annonce donc rude.
Mais pas de panique chez le club militaire. Il n'y a eu aucun remaniement au niveau de l'effectif. On ne change pas une équipe qui gagne ou presque puisque l'équipe des FAR a buté l'an dernier sur la première marche de la Ligue africaine. Un affront mal digéré et par le public et par les dirigeants de la formation militaire.
C'est d'ailleurs l'une des raisons ayant poussé le club à changer d'entraîneur en fin de saison. Ainsi, M'hamed Fakhir, un homme de la maison, aura de lourdes tâches. Les militaires devront défendre le titre et pourquoi pas conserver la coupe du Trône, mais également effacer l'humiliation en ligue africaine des champions de la CAF.
Tout au long de la période de préparation, le travail de M.Fakhir s'est concentré sur deux points: la préparation physique et l'amélioration du jeu collectif. Il faudra, cependant, patienter un peu de temps avant de voir la formation militaire retrouver son équilibre si elle veut briller aussi bien sur la scène africaine que nationale. «Lorsqu'on est un club comme les FAR, on ne peut pas se contenter de la deuxième ou la troisième place. On joue pour remporter des sacres. Notre objectif est donc de conserver notre titre. Cette saison s'annonce difficile. Et on devra batailler sur différents fronts : championnat national, coupe du Trône et ligue africaine. On a mis tous les moyens de notre côté pour atteindre nos buts», assure le coach des militaires. Grand club donc grandes ambitions.
Mais le chemin ne sera pas de tout repos pour les champions en titre dans la mesure où la liste des prétendants ne cesse de s'agrandir d'une saison à autre.
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coach en milieu de saison. Cela permet à l'équipe de garder une certaine
sérénité. L'an dernier, l'élimination précoce en Ligue africaine n'a pas provoqué le licenciement de l'ancien entraîneur des FAR Mustapha Madih et ce, malgré les rumeurs ayant alimenté les colonnes de la presse nationale. D'ailleurs, désormais une chose est prouvée : le changement d'entraîneur en milieu de parcours n'améliore en rien la situation des équipes.
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Car les joueurs des FAR avaient débuté tôt la préparation avec notamment le tournoi «Summer Cup» suivi de la finale de la Coupe du Trône. «Je suis venu en pleine préparation. On a fait presque dix matchs, dont un officiel (finale de la Coupe). Donc, les joueurs n'avaient pas un temps suffisant de récupération après la fin de la saison», confie M'hamed Fakhir, l'entraîneur des FAR. Et de préciser que : «l'équipe est désormais prête à 60%, 65%». Le coach de la formation militaire espère toutefois que le manque de repos n'affecte pas le rendement des joueurs.
«On a préparé cette saison dans de bonnes conditions. J'ai fait tourner un peu l'effectif avant de donner aux joueurs un petit répit pour qu'ils puissent récupérer. J'espère qu'on n'aura pas de passage à vide en début ou en milieu de saison», poursuit M.Fakhir. Reprenant les commandes de l'équipe militaire en fin de saison 2007-2008, l'actuel coach des FAR devra tout faire pour permettre à cette formation de rester au somment du football national tout en se méfiant des outsiders. Actuellement, les équipes casablancaises, le Raja ou le Wydad, sont lassées de jouer les seconds rôles. Ces deux clubs ont récemment procédé à de grands changements notamment dans l'encadrement et ce, afin de pouvoir détrôner l'actuel champion. Alors que le Raja a fait appel à José Romao pour donner un souffle neuf à l'équipe, le WAC a, pour sa part, engagé un ancien vétéran des Wydadi, Badou Zaki pour permettre aux «Rouges» de retrouver leur punch.
Par ailleurs, la formation militaire ne devra toutefois pas sous-estimer les équipes comme l'Olympique Khouribga, Difaâ El Jadida, Moghreb Tétouan ou encore l'Ittihad Zemmouri. Le championnat s'annonce donc rude.
Mais pas de panique chez le club militaire. Il n'y a eu aucun remaniement au niveau de l'effectif. On ne change pas une équipe qui gagne ou presque puisque l'équipe des FAR a buté l'an dernier sur la première marche de la Ligue africaine. Un affront mal digéré et par le public et par les dirigeants de la formation militaire.
C'est d'ailleurs l'une des raisons ayant poussé le club à changer d'entraîneur en fin de saison. Ainsi, M'hamed Fakhir, un homme de la maison, aura de lourdes tâches. Les militaires devront défendre le titre et pourquoi pas conserver la coupe du Trône, mais également effacer l'humiliation en ligue africaine des champions de la CAF.
Tout au long de la période de préparation, le travail de M.Fakhir s'est concentré sur deux points: la préparation physique et l'amélioration du jeu collectif. Il faudra, cependant, patienter un peu de temps avant de voir la formation militaire retrouver son équilibre si elle veut briller aussi bien sur la scène africaine que nationale. «Lorsqu'on est un club comme les FAR, on ne peut pas se contenter de la deuxième ou la troisième place. On joue pour remporter des sacres. Notre objectif est donc de conserver notre titre. Cette saison s'annonce difficile. Et on devra batailler sur différents fronts : championnat national, coupe du Trône et ligue africaine. On a mis tous les moyens de notre côté pour atteindre nos buts», assure le coach des militaires. Grand club donc grandes ambitions.
Mais le chemin ne sera pas de tout repos pour les champions en titre dans la mesure où la liste des prétendants ne cesse de s'agrandir d'une saison à autre.
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La stabilité, un atout des FAR
Contrairement aux autres clubs, la formation militaire a toujours bénéficié d'une solide stabilité au niveau de son staff technique. Alors que les autres équipes changent facilement d'entraîneur en cas de mauvais résultats, les dirigeants du club militaire ne limogent jamais uncoach en milieu de saison. Cela permet à l'équipe de garder une certaine
sérénité. L'an dernier, l'élimination précoce en Ligue africaine n'a pas provoqué le licenciement de l'ancien entraîneur des FAR Mustapha Madih et ce, malgré les rumeurs ayant alimenté les colonnes de la presse nationale. D'ailleurs, désormais une chose est prouvée : le changement d'entraîneur en milieu de parcours n'améliore en rien la situation des équipes.
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