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Cette sixième journée est vraiment à oublier. En effet, à peine que les confrontations commencent, qu'on est déjà à faire des comptes et des comptes. Le premier est relatif au nombre impressionnant au niveau de la valse des entraîneurs. On dirait la formule : le temps de prendre des photos et partir ailleurs. Plusieurs clubs, pour question de mauvais résultats ou jugés tels, se sont d'ores et déjà séparés de leur coach. Six équipes en tout et pour tout. De deux choses l'une. Soit que les recrutements ont été opérés sur la base d'un cahier des charges dont les clauses n'ont pas été honorées. Soit que le changement se fait en réponse aux pressions exogènes aux bureaux dirigeants des clubs. Toujours est-il que dans les deux cas de figure, la hâte a sûrement son impact sur la stabilité des troupes et de leur comportement sur la durée. Et justement d'instabilité, il faut noter que l'évolution de nos équipes laisse vraiment pantois.
Un jour, c'est blanc. Un jour, c'est sombre. Et d'autres jours, on n'est dans le gris. La preuve par dix. Si on s'amusait ne serait-ce qu'à évaluer la capacité de frappes des lignes offensives, on se retrouverait noyés dans les interrogations. Ainsi, si au tout début de la saison, les observateurs ont applaudi le nombre de réalisations, ils ont très vite compris que l'on s'acheminerait droit vers les dents de scie. Première journée, 16 réalisations. Moins six lors de la deuxième. Remontée à 17 buts lors de la troisième. Descente à 14, puis à 13 respectivement pour les quatrième et cinquième journées. Chercher un trend déterminé relèverait dès lors du domaine de tirer des plans sur des comètes. Le pire arrivera lors de la sixième journée. Sur les cinq premiers matches de cette journée, où on a vu jouer des ténors du championnat, la stérilité a été de mise.
En 450 minutes de jeu, à peine deux joueurs ont pu scorer. Ceux qui préfèrent voir la moitié pleine du verre tireraient chapeau aux défenses. Et de l'autre bout, les autres remarqueront qu'il y a problème d'efficacité. Et dont l'origine résiderait soit du côté des joueurs, soit des systèmes de jeu qui n'aident pas à déverrouiller les défenses adverses. Mais, en définitive, les deux lectures se recoupent et se complètent. Or, ça aussi est un paramètre à prendre en compte quand il s'agit de traiter de l'équipe nationale. Celle-ci, outre l'armada dont on dispose à l'étranger, est censée, également, puiser localement. Au vu de la situation qui prévaut, il n'y a pas photo. Les maximalistes iront jusqu'à dire qu'il ne faut pas rêver. Maintenant que l'on est à la veille d'un chamboulement annoncé pour le match contre le Cameroun, aucune piste de réflexion n'est à négliger. Dans la sérénité requise, bien sûr.
Un jour, c'est blanc. Un jour, c'est sombre. Et d'autres jours, on n'est dans le gris. La preuve par dix. Si on s'amusait ne serait-ce qu'à évaluer la capacité de frappes des lignes offensives, on se retrouverait noyés dans les interrogations. Ainsi, si au tout début de la saison, les observateurs ont applaudi le nombre de réalisations, ils ont très vite compris que l'on s'acheminerait droit vers les dents de scie. Première journée, 16 réalisations. Moins six lors de la deuxième. Remontée à 17 buts lors de la troisième. Descente à 14, puis à 13 respectivement pour les quatrième et cinquième journées. Chercher un trend déterminé relèverait dès lors du domaine de tirer des plans sur des comètes. Le pire arrivera lors de la sixième journée. Sur les cinq premiers matches de cette journée, où on a vu jouer des ténors du championnat, la stérilité a été de mise.
En 450 minutes de jeu, à peine deux joueurs ont pu scorer. Ceux qui préfèrent voir la moitié pleine du verre tireraient chapeau aux défenses. Et de l'autre bout, les autres remarqueront qu'il y a problème d'efficacité. Et dont l'origine résiderait soit du côté des joueurs, soit des systèmes de jeu qui n'aident pas à déverrouiller les défenses adverses. Mais, en définitive, les deux lectures se recoupent et se complètent. Or, ça aussi est un paramètre à prendre en compte quand il s'agit de traiter de l'équipe nationale. Celle-ci, outre l'armada dont on dispose à l'étranger, est censée, également, puiser localement. Au vu de la situation qui prévaut, il n'y a pas photo. Les maximalistes iront jusqu'à dire qu'il ne faut pas rêver. Maintenant que l'on est à la veille d'un chamboulement annoncé pour le match contre le Cameroun, aucune piste de réflexion n'est à négliger. Dans la sérénité requise, bien sûr.
