Connexion
Avec six points en deux rencontres sanctionnées par des victoires contre deux grosses pointures du championnat, le KAC à Kénitra et le Raja à Laâyoune sur la pelouse du stade Cheikh Mhamed Laghdaf, la JSM est l'équipe surprise de ce début du championnat.
Mais tout cela n'est pas pour donner la ''grosse tête'' à Fakhreddine qui reste prudent et réaliste : « Vous savez, nous ne sommes qu'à deux journées du championnat et moi je ne croîs pas en les chances d'une équipe qu'à partir de la dixième ou onzième journée. Pour le moment, les cartes sont encore brouillées et personne, et je suis bien placé pour l'affirmer, ne peut prédire qui, des seize équipes, finira en tête ou sera reléguée. Il faut attendre que les entraîneurs aient le temps de mettre leur système technico-tactique en place et d'attendre le déclic tant souhaité ».
Années difficiles
La Jeunesse Al-Massira, soulignons-le, a vécu ces cinq ou six dernières saisons des débuts catastrophiques et a évité de justesse la relégation à maintes reprises. A telle enseigne qu'au cours de l'année écoulée, elle comptait à peine 10 points lors des matches aller. Fakhreddine explique cela par le fait que par le passé, les entraîneurs se succédaient à la pelle et chacun venait avec une méthode que les joueurs tardaient à assimiler.
« Cette année, Dieu merci, j'ai ai été appelé bien avant le début de la compétition, ce qui m'a permis de travailler à l'aise, de procéder aux recrutements adéquats et de mettre sur pied un système technico-tactique que les joueurs ont parfaitement “digéré”. En outre, nos joueurs ont compris que seuls la discipline et le travail sérieux comptent pour gagner une place de titulaire. Et je crois que cela a commencé à se réaliser sur l'aire de jeu.»
Pour ce qui est des problèmes qui entravent la bonne marche de l'équipe, il faut soulever en premier lieu les fréquents déplacements de la JSM qui s'entraîne à Benslimane et joue à Laâyoune.
En effet, à part cinq ou six joueurs qui sont de la ville de Laâyoune, les autres viennent d'horizons divers et il faut énormément de travail pour atteindre la cohésion voulue. Concernant les objectifs de l'équipe cette année, Fakhreddine souligne : «Actuellement, nous avons bien entamé la saison et nous ferons tout pour demeurer sur la bonne trajectoire. Tout dépendra de la tournure que prendront les événements lors des prochaines rencontres. Si ce bon cycle continue, il est certain que les joueurs prendront confiance et évolueront plus décontractés, ce qui les poussera à viser encore plus haut. Ce qui est sûr, c'est que notre groupe reste homogène car nous sommes une équipe complémentaire qui possède un esprit de groupe et où le vedettariat est banni».
Soulignons pour terminer que Fakhreddine a gardé l'ossature de la JSM en y incorporant quelques éléments comme Romarek venu de Bouznika, Achkoud cédé par Dcheira, Raoudi recruté par Ksar El Kébir et Bestaoui que les recruteurs sahraouis sont allés chercher à Berrechid.
Mais tout cela n'est pas pour donner la ''grosse tête'' à Fakhreddine qui reste prudent et réaliste : « Vous savez, nous ne sommes qu'à deux journées du championnat et moi je ne croîs pas en les chances d'une équipe qu'à partir de la dixième ou onzième journée. Pour le moment, les cartes sont encore brouillées et personne, et je suis bien placé pour l'affirmer, ne peut prédire qui, des seize équipes, finira en tête ou sera reléguée. Il faut attendre que les entraîneurs aient le temps de mettre leur système technico-tactique en place et d'attendre le déclic tant souhaité ».
Années difficiles
La Jeunesse Al-Massira, soulignons-le, a vécu ces cinq ou six dernières saisons des débuts catastrophiques et a évité de justesse la relégation à maintes reprises. A telle enseigne qu'au cours de l'année écoulée, elle comptait à peine 10 points lors des matches aller. Fakhreddine explique cela par le fait que par le passé, les entraîneurs se succédaient à la pelle et chacun venait avec une méthode que les joueurs tardaient à assimiler.
« Cette année, Dieu merci, j'ai ai été appelé bien avant le début de la compétition, ce qui m'a permis de travailler à l'aise, de procéder aux recrutements adéquats et de mettre sur pied un système technico-tactique que les joueurs ont parfaitement “digéré”. En outre, nos joueurs ont compris que seuls la discipline et le travail sérieux comptent pour gagner une place de titulaire. Et je crois que cela a commencé à se réaliser sur l'aire de jeu.»
Pour ce qui est des problèmes qui entravent la bonne marche de l'équipe, il faut soulever en premier lieu les fréquents déplacements de la JSM qui s'entraîne à Benslimane et joue à Laâyoune.
En effet, à part cinq ou six joueurs qui sont de la ville de Laâyoune, les autres viennent d'horizons divers et il faut énormément de travail pour atteindre la cohésion voulue. Concernant les objectifs de l'équipe cette année, Fakhreddine souligne : «Actuellement, nous avons bien entamé la saison et nous ferons tout pour demeurer sur la bonne trajectoire. Tout dépendra de la tournure que prendront les événements lors des prochaines rencontres. Si ce bon cycle continue, il est certain que les joueurs prendront confiance et évolueront plus décontractés, ce qui les poussera à viser encore plus haut. Ce qui est sûr, c'est que notre groupe reste homogène car nous sommes une équipe complémentaire qui possède un esprit de groupe et où le vedettariat est banni».
Soulignons pour terminer que Fakhreddine a gardé l'ossature de la JSM en y incorporant quelques éléments comme Romarek venu de Bouznika, Achkoud cédé par Dcheira, Raoudi recruté par Ksar El Kébir et Bestaoui que les recruteurs sahraouis sont allés chercher à Berrechid.
