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En voilà une petite déception. En parcourant la liste, établie par la Confédération africaine du football, des nominés pour le trophée du meilleur joueur, on a comme un pincement au cœur de ne pas tomber sur un Lion de l'Atlas. Il est vrai que les choix se sont basés sur les performances des uns et des autres entre janvier et novembre de cette année, mais cela nous reste de travers. D'autant plus qu'il tombe au moment où l'on commence à reprendre confiance en la capacité des nôtres à rivaliser avec les grands noms de la planète foot sur la scène continentale. N'empêche, l'on a comme l'impression que la CAF reprend les mêmes et recommence, notamment, avec le must des habitués du calibre de Didier Drogba et Samuel Eto'o.
Autre particularité, la présence en force des Ghanéens qui totalisent trois prétendants, suivis de l'Egypte avec des nominés. Lesquels Pharaons qui comptent, également, deux nominés sur la liste des joueurs évoluant sur le continent, les mêmes d'ailleurs ( Ahmed Hassan et Mohamed «Gedo» Nagy). Où sont passés les nationaux, sachant que l'équipe marocaine peut se targuer de disposer de noms qui font, chaque semaine, parler d'eux. En bien, SVP !
Mais il est écrit que les choix en question, qui demeurent sujets à caution tant et si bien que les critères relèvent du secret de ceux qui les ont faits, semblent s'appuyer sur les performances des sélections de ces pays. Tout au moins, par rapport à une certaine visibilité.
Or, quand on prend en ligne de compte la traversée du désert des Lions de l'Atlas, il est clair que l'on ne pouvait espérer un quelconque « rachetage » en la matière. Maintenant, le 20 décembre prochain, on n'ira pas au Caire pour applaudir. Au meilleur des cas, l'on pourra mettre la parabole en direction du pays du Nil, en souhaitant que l'année prochaine on ait l'un des nôtres dans la course au titre africain. Un espoir d'autant plus permis que l'on a le sentiment que nos joueurs sont sur la voie de ressaisissement, si l'on ose dire. L'état d'esprit a changé, la machine a montré des signes certains de reprise de l'initiative et le mental reprend du poil de la bête. Le tout récent match officiel nous a, d'ailleurs, redonné confiance en la capacité des Lions de l'Atlas de rugir. A nouveau et de manière plus audible. L'arrivée de Gerets est de nature à gonfler à bloc nos joueurs. Et sous peu, on les reverra face à l'Irlande dans une rencontre amicale. L'espoir est permis que notre foLe printemps annoncé…
En voilà une petite déception. En parcourant la liste, établie par la Confédération africaine du football, des nominés pour le trophée du meilleur joueur, on a comme un pincement au cœur de ne pas tomber sur un Lion de l'Atlas. Il est vrai que les choix se sont basés sur les performances des uns et des autres entre janvier et novembre de cette année, mais cela nous reste de travers. D'autant plus qu'il tombe au moment où l'on commence à reprendre confiance en la capacité des nôtres à rivaliser avec les grands noms de la planète foot sur la scène continentale. N'empêche, l'on a comme l'impression que la CAF reprend les mêmes et recommence, notamment, avec le must des habitués du calibre de Didier Drogba et Samuel Eto'o. Autre particularité, la présence en force des Ghanéens qui totalisent trois prétendants, suivis de l'Egypte avec des nominés. Lesquels Pharaons qui comptent, également, deux nominés sur la liste des joueurs évoluant sur le continent, les mêmes d'ailleurs ( Ahmed Hassan et Mohamed «Gedo» Nagy).
Où sont passés les nationaux, sachant que l'équipe marocaine peut se targuer de disposer de noms qui font, chaque semaine, parler d'eux. En bien, SVP !
Mais il est écrit que les choix en question, qui demeurent sujets à caution tant et si bien que les critères relèvent du secret de ceux qui les ont faits, semblent s'appuyer sur les performances des sélections de ces pays. Tout au moins, par rapport à une certaine visibilité. Or, quand on prend en ligne de compte la traversée du désert des Lions de l'Atlas, il est clair que l'on ne pouvait espérer un quelconque « rachetage » en la matière. Maintenant, le 20 décembre prochain, on n'ira pas au Caire pour applaudir. Au meilleur des cas, l'on pourra mettre la parabole en direction du pays du Nil, en souhaitant que l'année prochaine on ait l'un des nôtres dans la course au titre africain.
Un espoir d'autant plus permis que l'on a le sentiment que nos joueurs sont sur la voie de ressaisissement, si l'on ose dire. L'état d'esprit a changé, la machine a montré des signes certains de reprise de l'initiative et le mental reprend du poil de la bête. Le tout récent match officiel nous a, d'ailleurs, redonné confiance en la capacité des Lions de l'Atlas de rugir. A nouveau et de manière plus audible. L'arrivée de Gerets est de nature à gonfler à bloc nos joueurs. Et sous peu, on les reverra face à l'Irlande dans une rencontre amicale. L'espoir est permis que notre football retrouve son positionnement en tant que force footballistique à l'échelle du continent africain. Et nous avons tout pour réussir un nouveau saut. A commencer par démentir Benchikha.
MATIN SPORTSotball retrouve son positionnement en tant que force footballistique à l'échelle du continent africain. Et nous avons tout pour réussir un nouveau saut. A commencer par démentir Benchikha.
Autre particularité, la présence en force des Ghanéens qui totalisent trois prétendants, suivis de l'Egypte avec des nominés. Lesquels Pharaons qui comptent, également, deux nominés sur la liste des joueurs évoluant sur le continent, les mêmes d'ailleurs ( Ahmed Hassan et Mohamed «Gedo» Nagy). Où sont passés les nationaux, sachant que l'équipe marocaine peut se targuer de disposer de noms qui font, chaque semaine, parler d'eux. En bien, SVP !
Mais il est écrit que les choix en question, qui demeurent sujets à caution tant et si bien que les critères relèvent du secret de ceux qui les ont faits, semblent s'appuyer sur les performances des sélections de ces pays. Tout au moins, par rapport à une certaine visibilité.
Or, quand on prend en ligne de compte la traversée du désert des Lions de l'Atlas, il est clair que l'on ne pouvait espérer un quelconque « rachetage » en la matière. Maintenant, le 20 décembre prochain, on n'ira pas au Caire pour applaudir. Au meilleur des cas, l'on pourra mettre la parabole en direction du pays du Nil, en souhaitant que l'année prochaine on ait l'un des nôtres dans la course au titre africain. Un espoir d'autant plus permis que l'on a le sentiment que nos joueurs sont sur la voie de ressaisissement, si l'on ose dire. L'état d'esprit a changé, la machine a montré des signes certains de reprise de l'initiative et le mental reprend du poil de la bête. Le tout récent match officiel nous a, d'ailleurs, redonné confiance en la capacité des Lions de l'Atlas de rugir. A nouveau et de manière plus audible. L'arrivée de Gerets est de nature à gonfler à bloc nos joueurs. Et sous peu, on les reverra face à l'Irlande dans une rencontre amicale. L'espoir est permis que notre foLe printemps annoncé…
En voilà une petite déception. En parcourant la liste, établie par la Confédération africaine du football, des nominés pour le trophée du meilleur joueur, on a comme un pincement au cœur de ne pas tomber sur un Lion de l'Atlas. Il est vrai que les choix se sont basés sur les performances des uns et des autres entre janvier et novembre de cette année, mais cela nous reste de travers. D'autant plus qu'il tombe au moment où l'on commence à reprendre confiance en la capacité des nôtres à rivaliser avec les grands noms de la planète foot sur la scène continentale. N'empêche, l'on a comme l'impression que la CAF reprend les mêmes et recommence, notamment, avec le must des habitués du calibre de Didier Drogba et Samuel Eto'o. Autre particularité, la présence en force des Ghanéens qui totalisent trois prétendants, suivis de l'Egypte avec des nominés. Lesquels Pharaons qui comptent, également, deux nominés sur la liste des joueurs évoluant sur le continent, les mêmes d'ailleurs ( Ahmed Hassan et Mohamed «Gedo» Nagy).
Où sont passés les nationaux, sachant que l'équipe marocaine peut se targuer de disposer de noms qui font, chaque semaine, parler d'eux. En bien, SVP !
Mais il est écrit que les choix en question, qui demeurent sujets à caution tant et si bien que les critères relèvent du secret de ceux qui les ont faits, semblent s'appuyer sur les performances des sélections de ces pays. Tout au moins, par rapport à une certaine visibilité. Or, quand on prend en ligne de compte la traversée du désert des Lions de l'Atlas, il est clair que l'on ne pouvait espérer un quelconque « rachetage » en la matière. Maintenant, le 20 décembre prochain, on n'ira pas au Caire pour applaudir. Au meilleur des cas, l'on pourra mettre la parabole en direction du pays du Nil, en souhaitant que l'année prochaine on ait l'un des nôtres dans la course au titre africain.
Un espoir d'autant plus permis que l'on a le sentiment que nos joueurs sont sur la voie de ressaisissement, si l'on ose dire. L'état d'esprit a changé, la machine a montré des signes certains de reprise de l'initiative et le mental reprend du poil de la bête. Le tout récent match officiel nous a, d'ailleurs, redonné confiance en la capacité des Lions de l'Atlas de rugir. A nouveau et de manière plus audible. L'arrivée de Gerets est de nature à gonfler à bloc nos joueurs. Et sous peu, on les reverra face à l'Irlande dans une rencontre amicale. L'espoir est permis que notre football retrouve son positionnement en tant que force footballistique à l'échelle du continent africain. Et nous avons tout pour réussir un nouveau saut. A commencer par démentir Benchikha.
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