12 Décembre 2022 À 14:22
Your browser doesn't support HTML5 audio
Le cabinet d’audit qui met la compliance et la prévention de la corruption au cœur de ses domaines d’expertise a ainsi récompensé du laurier de lutte contre la corruption Lydec (laurier de la mobilisation des parties prenantes), Bank Al-Maghrib (laurier du devoir et mission), Attijariwafa bank (laurier de l’incarnation du leadership) et Al Omrane (laurier de l’ambition et du défi). Cette remise des prix s’est tenue lors d’un rassemblement des ACTEurs, à l'occasion de la journée internationale de la lutte contre la corruption à Rabat.
Pour Anne Le Rolland, fondatrice et directrice générale d’ACTE International, la ville de Rabat s’imposait comme lieu de rencontre entre les grands acteurs internationaux de la corruption. En effet, souligne-t-elle, après 20 années dédiées au continent asiatique et aux États-Unis, ACTE International a choisi, en 2016, le Maroc pour déployer son expertise en termes de responsabilité sociale et de prévention de la corruption au service du continent africain.
Un choix qu’Anne Le Rolland attribue au fait que le Maroc fait preuve de détermination dans la lutte contre ce fléau qu’est la corruption. Cette rencontre a réuni de grands acteurs de la compliance et de la prévention de la corruption du Maroc, mais aussi des quatre coins du monde. L’événement a été également marqué par le partage d’expérience de cinq grands témoins venus échanger sur leurs expertises, défis et actions pour plus d’intégrité dans leurs activités et zones géographiques respectives. D’ailleurs 98% d’entre eux affirment être optimistes pour le combat contre ce fléau. Les participants se sont, par ailleurs, engagés, chacun à son niveau, à élargir le cercle vertueux des entreprises et organismes privés et publics pour un monde meilleur.
Pour rappel, depuis son implantation en 2016 au Maroc, ACTE International a fait de son bureau casablancais une base continentale de formation à la prévision de la corruption. Après 20 ans dédiés au continent asiatique et aux États-Unis, le cabinet s’attaque désormais aux marchés du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.r>