Le Maroc et les BRICS+ : moins que l'adhésion, plus que le partenariat (IRES)
Au moment où se tenait, les 6 et 7 juillet à Rio de Janeiro, le sommet des BRICS+, l'Institut Royal des études stratégiques (IRES) publiait une analyse approfondie sur l'importance de ce bloc dans un ordre mondial en pleine recomposition et sur ses relations avec le Maroc. Face à l'émergence de ce groupement qui tient à avoir voix au chapitre dans un cadre global qui ne jure que par les intérêts stratégiques, le Royaume peut légitimement se poser la question de l'avenir de sa relation avec les BRICS+ et sur les meilleurs choix à faire pour préserver ses acquis. Comment peut-il tirer parti de cette nouvelle donne géopolitique sans compromettre ses alliances historiques, notamment avec le G7 ? Décortiquer les termes de cette équation complexe ainsi que les enjeux y afférents, tel est l'exercice auquel s'est livré l'Institut dans le rapport qu'il vient de mettre en ligne. Le document, qui date de mai 2024, est intitulé «Le Maroc et les BRICS plus : quelle stratégie à l'horizon 2035 ?»
