10 Mai 2023 À 19:32
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Sous le titre «Marrakech, une ville pas comme les autres», Claudia Blum raconte comment elle est tombée littéralement amoureuse d’une ville «pleine de contrastes, accueillante, conviviale» et où elle a «réalisé que le temps s’arrêtait et laissait place à l’apprentissage et à l’imagination. Une expérience pas comme les autres», dit-elle. «J’ai ressenti une affection particulière pour Marrakech, pour sa richesse culturelle, ses paysages, ses habitants», confie-t-elle, soulignant la qualité des infrastructures de la ville ocre comme le «splendide aéroport et son architecture arabo-marocaine inspirée des arabesques».
L’auteure de l’article s’est dite particulièrement séduite par «la captivante Médina aux solides fortifications d’argile rouge», où elle a commencé à «assimiler les trésors, les saveurs et les odeurs offertes par la vaste culture de cette belle ville fondée en 1062 par (Youssef) Ibn Tachfine». Elle évoque aussi «les riads, anciennes maisons de marchands, transformées en hôtels (…) et la medersa Ben Youssef, une école coranique musulmane fondée au 14e siècle. Architecture électrisante de style andalou où la géométrie rencontre l’esthétique des matériaux pour aboutir à l’harmonie, la lumière et la beauté». r>Claudia Blum revient aussi sur ses visites aux souks, à Jamaa Lefna et aux marchés d’artisanat regroupés par spécialité. «Là mes sens ont été activés par la variété des produits agricoles, épices, noix, textiles, djellabas, chaussons, meubles incrustés de nacre et la fameuse huile d’argan (…) la magie déborde à Jamaa Lefna tout comme les arômes incontournables des cuisines locales», poursuit-elle.
L’auteure de l’article n’omet pas de revenir sur ses visites captivantes au Palais Badiî du 16e siècle, symbole de pouvoir par son architecture majestueuse avec des décorations dorées et turquoises, ses mosaïques et les jardins de palmiers et d’orangers. «De ses terrasses, j’ai apprécié les nids de cigogne qui s’installent sur les toits. Il est encore plus difficile de décrire la somptuosité du Palais de la Bahía, ses patios fleuris, ses salons et salles du plus pur art marocain», raconte-elle. Claudia Blum revient aussi sur l’«incontournable quartier juif», avec ses ateliers et ses synagogues, le palais El Glaoui transformé en musée, la Maison de la photographie et les Jardins Majorelle, «un paradis tropical entouré de bâtiments bleu cobalt avec des bosquets exotiques».
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