16 Mars 2023 À 15:06
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La smart school London Academy Casablanca (LAC) innove une nouvelle fois en intégrant une filière à son cursus au niveau du lycée : l’Elite@LAC. Cette formation réunit les piliers de l’éducation de l’Académie basée sur le système éducatif anglo-saxon, à savoir la créativité, la citoyenneté, la communication, la collaboration, le caractère et l’analyse critique.r>Ce qui la différencie des autres filières proposées par l’école au niveau du lycée est son caractère prestigieux et élitiste – d’où son nom, affirme l'institution. En effet, pour y accéder une moyenne minimale de 14/20 est requise en plus de la réussite à un test académique notant le niveau d’anglais, de mathématiques, d’intelligence et de perception spatiale de l’élève.
En outre, l’Elite@LAC se caractérise par une éducation hybride où la technologie et le digital sont au cœur de l’enseignement ainsi que par une pédagogie de flipped classroom où l’élève fait ses devoirs avant de venir en classe et où l’enseignant y approfondira les notions apprises avec diverses activités. Des examens annuels, GCSE et A-level, permettent de situer le niveau des élèves au cours du cursus. Reconnue par le ministère marocain des Affaires étrangères et le département britannique de l’Éducation comme une école internationale anglo-saxonne, la London Academy Casablanca place l’enfant au centre de l’éducation, explique Samir Benmakhlouf Ph. D, fondateur de la London Academy de Casablanca et de Rabat.
A noter que pour un coût annuel d’environ 36.000 DH hors frais d’inscription, les Bacheliers recevront un diplôme anglophone à équivalence marocaine qui peut leur ouvrir les portes de nombreuses universités internationales, dont certaines sont partenaires de la LAC. «Avec un diplôme anglophone, les élèves ont accès à toutes les formations du supérieur à travers le monde sans se restreindre à la France qui attire habituellement les cerveaux marocains», estime le fondateur de la London Academy. Prenant pour exemple les 50 Bacheliers de l’école dont 72% ont poursuivi leurs études à l’étranger. «C’est un investissement pour rendre l’enfant indépendant et le préparer au monde du travail en lui apprenant à apprendre : c’est une question de compétence, pas de savoir», conclut Samir Benmakhlouf Ph. D, s’appuyant sur une étude datant de 2021 du British Council qui montre que 74% des jeunes Marocains interrogés considèrent l’anglais comme la langue favorisant une ouverture internationale, au détriment du français.
r>Margaux (journaliste stagiaire)