« Aala ghafla », la caméra cachée de 2M : Finies les erreurs du passé

Des erreurs qui ne l'ont pas empêchée d'être élue seconde, dans sa catégorie, lors de la nuit de « Noujoum Bladi ». « Aala ghafla » aura deux fois plus de chance cette
année, avec le retour du « Jamour », si ce n'est pas avec «Jamour Bladi ».
Adossé aux scripts de ses scénaristes, Abdelilah Omari et Mohamed Abourabii, le réalisateur Abderrahim Majd montre qu'il a son mot à dire. Il a réussi le générique de son émission. Quant aux effets spéciaux, M. Majd en est le maître », nous a déclaré l'un de ses assistants. «C'est court, bien conçu et magnifique », nous ont confié plusieurs téléspectateurs.

Pour sa part, Abderrahim Majd explique cette amélioration de son émission par le fait que «le temps de tournage était assez suffisant, ce qui n'était pas le cas l'année dernière», précisant que «le tournage a commencé le mois de juillet ». « Avec les pièges bien déterminés, le staff a donné le meilleur de lui même, afin de réussir l'émission et satisfaire les téléspectateurs, tout en évitant les critiques et les erreurs du passé », a-t-il expliqué.

Certains téléspectateurs se plaignent, néanmoins, de «l'intrusion de Hafid au début de chaque épisode». Parmi eux, le jeune Khalid, étudiant, «ne serait-il pas convenable, d'éviter de nous gâcher le plaisir de regarder cette émission sans chichi». «L'idée de Aala ghafla est parfaite. Elle ne porte pas atteinte à la dignité des gens. Mais, il n'y a pas que le sport et la chanson qui soient suffisamment porteurs. Des personnalités, évoluant dans d'autres secteurs, méritent également d'être les prochaines cibles de la caméra cachée », a souligné M. Loukili, père de famille. Dans ce sens, le réalisateur de Aala ghafla nous a informé que « le public aura l'occasion de voir des personnalités de tous les secteurs, sport, musique, médias… ». A ses yeux, il est primordiale de diversifier la gamme des personnes ciblées pour satisfaire tout le monde.

De sources concordantes, nous avons appris que « toutes les cibles font partie des connaissances du staff. Ce qui facilite leur approche suite à un appel amical de la part de M. Abourabii». Ce dernier, grâce à ses contacts multiples, joue un rôle majeur dans l'organisation. Quant à M. Omari, ce producteur d'idées et de scénarios, se charge de les modifier, selon les circonstances. Souvent à la dernière minute.