12 Mars 2012 À 16:57
Il faut mettre en œuvre pour Schengen une réforme aussi structurelle que celle que nous venons de mettre en œuvre pour l’euro», a lancé le président-candidat, pour qui «on ne doit pas laisser la gestion des flux migratoires entre les seules mains des technocrates et des tribunaux».
L’espace Schengen, dans lequel les voyageurs peuvent circuler librement, munis d’une simple carte d’identité, est l’objet de tensions croissantes au sein de l’UE, liées aux craintes concernant l’immigration clandestine. Il regroupe 22 États membres de l’UE et quatre États associés, dont la Suisse.
Le président Sarkozy a plaidé pour «des instruments de gestion des crises qui permettent d’assister les pays confrontés à des circonstances exceptionnelles et un front commun dans la lutte contre l’immigration clandestine».