28 Novembre 2013 À 18:06
L’Institut français du Maroc, en partenariat avec l’association «Les Amitiés musicales» organisateur du Concours international de piano S.A.R. la Princesse Lalla Meryem, inscrit cette tournée dans le cadre de la Saison culturelle 2013.
Sept villes du Royaume ont été, donc, choisies pour accueillir le concert d'Alexey Sichev, vainqueur du Grand Prix du Concours. «Ces concerts sont offerts en tant que Prix aux lauréats méritants et sélectionnés par le jury du Concours et se déroulent au courant de l’année qui suit le Concours», souligne la présidente du Concours international de piano S.A.R. la Princesse Lalla Meryem, Ghizlane Hamadi. C’est le cas du jeune Alexey Sichev âgé de 24 ans qui s’est produit sur les plus belles scènes mondiales et dont les performances lui ont valu de nombreuses récompenses nationales et internationales. Son brillant parcours fait de ce lauréat du Conservatoire Tchaikovsky de Moscou l’un des pianistes les plus prometteurs de sa génération. Les enseignements de ses grands maîtres Pavel Nersessian et Alexey Nasedkin lui ont été d’un grand apport musical qui l’a fait briller dans l’édition 2013 du Concours.
«Le Concours international de Piano S.A.R la Princesse Lalla Meryem a pour principal objectif d’être une plateforme d’apprentissage, de formation et d’encouragement. Les offres de concerts et de bourses pour stages de perfectionnement servent justement à aider les jeunes pianistes talentueux à s’épanouir dans l’univers musical. Le fait de participer à un concours est déjà un exploit en soi, dans la manière de s’y préparer musicalement, physiquement et psychologiquement.
Les artistes ont besoin de s’exprimer, de partager leurs émotions avec le public, d’être récompensés pour leurs efforts, d’être soutenus dans leur choix artistique», précise la présidente G. Hamadi. En parallèle à cette tournée spéciale pour Alexey Sichev, l’Institut français du Maroc organise deux concerts pour les jeunes lauréats à l’I.F. de Rabat. Comme il a, également, offert deux Prix spéciaux pour le meilleur interprète de Debussy et pour le meilleur interprète de musique contemporaine récompensant, ainsi, l’œuvre imposée au Concours, degré virtuosité, le «Prélude n° 2» d’Ahmed Essyad.