09 Février 2015 À 18:43
«Les agglomérations minières peuvent être victimes du processus de dégradation de l’environnement à cause des rejets solides, liquides et gazeux de la mine», avertissait il y a quelques années l'Institut national d’aménagement et d’urbanisme, Rabat. Afin d'atténuer les risques environnementaux, le Collectif marocain du volontariat a initié le projet intitulé : «Des volontaires marocain(e)s au service de l’éducation et du développement durable», financé par la Fondation OCP. Ainsi, les volontaires de la vague 9 ont passé deux mois dans les zones minières suivantes de Laâyoune, Safi, Sebt Gzoula, Youssoufia, Benguérir, Khouribga, Jorf Lasfar, Ain Chouater, Bouaarfa et Jerada. Les objectifs principaux de cette rencontre, selon un communiqué du collectif, est de créer pour les volontaires un espace d’échange de leurs expériences pendant les deux premiers mois de leurs missions, d’évaluer de près leurs capacités et celles de leurs 14 accompagnateurs de gérer et d’organiser des missions de volontariat, ainsi que leur degré de réalisation de leurs plans d’action. La rencontre de Safi, du 11 au 13 février, intervient à mi-parcours des missions de volontariat qui durent quatre mois. Les 28 volontaires sont mis en place dans les sites du projet depuis le 5 décembre 2014, afin d’accomplir les tâches relatives au projet dont le soutien à l’éducation de la petite enfance représente un axe essentiel.