08 Août 2016 À 16:59
Le Prix du meilleur scénario de cette deuxième édition a été remporté par le long métrage «Raja Bent El Mellah» de Abdelilah El Jaouhari. L’acteur marocain Amine Ennaji a glané le Prix du meilleur acteur pour son rôle dans le long métrage «A mile in my shoes», tandis qu'Amal Ayouch s'est vu attribuer le Prix de la meilleure actrice pour son rôle dans «L'Orchestre de minuit» du réalisateur Jérôme Cohen-Olivar. La liste des longs métrages qui étaient en lice dans le cadre de la compétition officielle de cette édition, organisée sous le thème : «Tous pour une créativité marocaine et un spectacle cinématographique dans la perle bleue», comprend «Fida» de Driss Chouika, «L'Orchestre de minuit» de Jérôme Cohen-Olivar, «Larmes de Satan» de Hicham El Jebbari, «A mile in my shoes» de Saïd Khallaf, «Raja Bent El Mellah» de Abdelilah El Jaouhari et «Ihbat» (désespoir) de Mohammed Ismaïl. Dans la catégorie des courts métrages, le Prix de «l'Orange» pour le court métrage a été décerné au film «La Main gauche» de Fadil Chouika, celui du meilleur réalisateur est revenu à Ghizlane Assif pour son film «Murmures de Vénus», alors que le Prix du meilleur scénario a été attribué au film «Nidae Trang» de Hicham Regragui.
Le prix du meilleur acteur a été remporté par Mohammed Khouyi pour son rôle dans le film «La main gauche», tandis que celui de la meilleure actrice est revenu à Sara Regragui pour son rôle dans le film «Les mouchoirs blancs» de Farid Regragui, qui a également reçu les éloges du jury du Festival. Dans cette catégorie, 7 courts métrages étaient en lice, à savoir «De l'eau et du sang» de Abdelilah El Jaouhari, «Tikchbila Tiwliwla» de Youssef Laalioui, «Nidae Trang» de Hicham Regragui, «Les mouchoirs blancs» de Farid Regragui, «Le quai du destin» d'Amina Saadi, «Murmures de Vénus» de Ghizlane Assif et «La main gauche» de Fadil Chouika. Cette manifestation artistique, initiée par l'Association Al Amal pour la coexistence et le développement, du 3 au 6 août, avait pour but de favoriser la culture cinématographique dans la région de l'Oriental, en particulier à Saïdia et à Berkane, de servir de trait d'union entre les Marocains d'ici et d'ailleurs et d'investir le cinéma comme outil de communication efficace dans la promotion des valeurs de tolérance et de coexistence entre les peuples. Organisé avec le soutien notamment du Centre cinématographique marocain, du Conseil régional, de la Société de développement Saïdia (SDS), du conseil provincial de Berkane, du Conseil provincial du tourisme, et des deux conseils municipaux de Saïdia et Berkane, cet événement culturel et artistique comprenait dans sa programmation des conférences et des rencontres autour de questions culturelles et sociales diverses.