Culture

Rendez-vous culturels

27 Mai 2021 À 20:50

Un appel à idées à Casablanca

L’Institut français de Casablanca, en partenariat avec l’École d’architecture et de paysage de Casablanca et l’Association de l’Espace Mohamed Abdou, lance l’appel à idées «Plus qu’un simple lien». Ce projet se donne pour objectif de promouvoir le principe d’une passerelle piéton enjambant le boulevard Zerktouni qui soit aussi une nouvelle façon de traverser offrant une transition élégante entre le square Mohamed Abdou et le Parc de la Ligue arabe.r>Cet appel à idées invite les participants à proposer un franchissement au-dessus du boulevard, en favorisant la qualité urbaine et la circulation pour les piétons et les cyclistes qui soit «Plus qu’un simple lien».r>• Date limite de remise des dossiers de candidatures : Le 27 juin 2021r>• Date de l’exposition : À partir du 3 juillet 2021r>• Annonce des résultats : Le 14 juillet 2021. 

«Lady Berbère» : Une galerie d’art éphémère dans le désert

Le désert d’Agafay accueillera, à partir du 4 juin à Terre des Étoiles, une exposition originale intitulée «Lady Berbère». Cette exposition a été imaginée par Stéphanie Cassan, fondatrice de l’agence de communication et d’événementiel Virage, et la collectionneuse Nathalie Heller Loufrani, en collaboration avec l’Institut français de Marrakech. Elle présente conjointement les tapisseries Zindekh réalisées par des femmes de la région d’Azizal depuis les années 1990, véritables œuvres d’art dans la lignée des plus grands artistes et les peintures de l’artiste autodidacte Keya qui vit depuis plusieurs années à Marrakech. Cette galerie dans le désert combine la tradition et la modernité, l’art et l’artisanat, les secrets de femmes et leurs visions audacieuses du monde. 

Casablanca : Exposition de Malika Agueznay

So Art Gallery à Casablancar>présente du 10 juin au 2 juillet, ne exposition de Malika Agueznay qui dévoilera au public des œuvres majeures de l’artiste, ainsi que des créations récentes exploitant différentes techniques.r>L’écriture «alguée» d’Agueznay est unique et ses gravures ne ressemblent à aucune autre tant elle sait faire ressortir les reliefs et satiner le miroitement des couleurs. Quels que soient le support et la technique, le travail de Malika est empreint d’une douceur toute mystique.r>C’est à l’orée des années 1980 que l’artiste aborde le monde de la gravure à Assilah auprès de grands maîtres tels que Roman Artymowski, Mohamed Omar Khalil, Krichna Reddy ou encore Robert Blackburn. Elle est également fidèle, tous les ans depuis 1978, au Moussem d’Assilah et à son atelier de gravure. 

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