LE MATIN
22 Mars 2024
À 10:35
Les conclusions dudit rapport ont donc enterré de manière qui ne souffre pas l’équivoque tous les soupçons et
accusations qui avaient été dirigés contre le Royaume du Maroc relatives à de présumées
activités d’espionnage qui auraient pris pour cible le président du
gouvernement espagnol,
Pedro Sanchez, ainsi que d’autres hauts fonctionnaires de l’Etat espagnol, à l’aide du
logiciel Pegasus.Lire aussi : Affaire Pegasus : Madrid rejette les accusations sans fondement contre le Maroc (EFE)Il convient de rappeler, à ce propos, que ces
allégations avaient déjà fait l’objet de démentis par de
hauts responsables espagnols, en novembre 2022, lors d’auditions devant une commission du
Parlement européen qui enquêtait sur l’utilisation du logiciel Pegasus.
Dans le même sillage,
l’Audience nationale espagnole avait décidé, en juillet 2023, de classer sans suite l’affaire Pegasus faute de preuves.