LE MATIN
29 Mars 2025
À 15:05
"Le
Maroc, deuxième destination touristique d'
Afrique, ne cesse de s'illustrer par sa
gastronomie", d’autant plus qu’"en juillet 2024, elle a été désignée comme la meilleure au monde lors d'un vote réalisé par une plateforme qui compte plus de 40 millions d'abonnés", souligne le média français en introduction de l’émission présentée par la cheffe
Anto Cocagne et très recommandée par la presse spécialisée aux amateurs de
voyages.
"Parmi ses plats emblématiques, on retrouve le
couscous et les
tajines. Les odeurs et les saveurs de ces mets ancestraux bien connus des
Français", lit-on sur le synopsis de l’émission.
Et d’ajouter que lors de son périple, la cheffe Anto Cocagne "découvre que la
cuisine marocaine est bien plus riche que cela", car elle "reflète une multitude d'influences culturelles et historiques. Enfin, la cuisine est surtout une affaire de femmes. Les recettes se transmettent de mère en fille depuis des générations", précise-t-on.
Dans un article consacré à l’émission, "
Le Figaro TV Magazine" relève que la chef Anto a parcouru le
Maroc à "la découverte de toutes les saveurs et spécialités culinaires locales, des plus connues aux plus atypiques".
"De
Marrakech à
Fès en passant par
Casablanca,
Oualidia ou les
montagnes de l’Atlas, Chef Anto nous fait découvrir l’étonnante variété de la gastronomie marocaine dans ce nouveau numéro d’
Échappées belles", relève-t-on.
Le magazine, qui conseille ce périple à ses lecteurs, retient que l’animatrice dévoile "évidemment tous les secrets pour réaliser un bon couscous et une pastilla réussie, plats emblématiques de la cuisine marocaine. Mais elle met aussi en lumière des aspects moins connus de la gastronomie locale".
Elle a ainsi goûté à "un
méchoui cuit à l’étouffée dans un four en argile et fondant à souhait au sein d’une échoppe du
souk de Marrakech", avant d’expérimenter des escargots agrémentés de cannelle, anis et thym dans l’un des stands fumants de la
place Jemaa el-Fna.
L’animatrice "s’éloigne ensuite des sentiers battus pour visiter une
coopérative en permaculture ou une exploitation d’olives biologiques". Au pied de l’Atlas, elle rencontre des bergers de la
vallée d’Aït Bougmez ( la vallée heureuse) qui "perpétuent les traditions en réalisant leur pâte et en cuisant leur pain à même des pierres chaudes, offrant une fournée aux bords croustillants et à l’intérieur moelleux".
Chef Anto quitte ensuite ces paysages pour se rendre au bord de la mer, plus précisément à
Oualidia, sur la
côte atlantique, au sud de
Casablanca. « Dans cette station balnéaire bordant une lagune et bien préservée, les habitants vivent principalement de la pêche et de la vente des huîtres », note la critique.
Et d’ajouter que le documentaire met aussi à l’honneur des femmes qui "se lancent dans la pêche, mais aussi un ancien champion de
surf qui, par le biais de son association, propose à des jeunes adolescents de vider la plage de ses déchets". Ces derniers, souligne-t-on, ramassent des kilos de plastique et, en échange, il leur offre un cours de surf avant de préparer "un énorme banquet sur la plage avec du poisson grillé".
« Mais que serait le Maroc sans ses célèbres
pâtisseries orientales ? Chef Anto découvre de multiples spécialités, parfois revisitées au goût du jour, où l’amande et la
fleur d’oranger tiennent une bonne place. Le tout agrémenté par l’incontournable thé à la menthe, signe d’hospitalité dans tout le Royaume », conclut le magazine.