Dans un discours télévisé, cheikh Rached ben Abdallah Al Khalifa a exprimé son «profond regret» pour la mort des deux manifestants au cours de la dispersion, lundi et mardi, de manifestations anti-gouvernementales.
«Nous présentons nos excuses à la nation, aux citoyens et aux familles des deux tués, et nous comprenons leur peine», a ajouté le ministre.
Il a annoncé que «les responsables de la mort des deux manifestants ont été appréhendés et nous avons entamé une enquête» pour déterminer les circonstances de ces décès.
Le ministre a souligné qu'il avait toujours appelé «les membres des forces de sécurité à faire preuve de retenue pour éviter de tels incidents regrettables».
Le Haut commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, Navi Pillay, avait exhorté mardi les autorités de Bahreïn à renoncer à un «usage excessif de la force» contre les manifestants pacifiques, alors que les Etats-Unis se sont dits «très préoccupés».
Dans le sillage des soulèvements tunisien et égyptien, des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi dans le centre de Manama, certains réclamant à leur tour un changement de régime, après la mort de deux jeunes protestataires chiites.
L'un, Ali Mcheimeh, a succombé mardi à ses blessures reçues lundi soir lors de la dispersion d'une manifestation dans le village chiite de Diya, à l'est de Manama. Le deuxième, Fadel Salman Matrouk, a été tué par balle lors de la dispersion d'un rassemblement mardi devant un hôpital de Manama.
«Nous présentons nos excuses à la nation, aux citoyens et aux familles des deux tués, et nous comprenons leur peine», a ajouté le ministre.
Il a annoncé que «les responsables de la mort des deux manifestants ont été appréhendés et nous avons entamé une enquête» pour déterminer les circonstances de ces décès.
Le ministre a souligné qu'il avait toujours appelé «les membres des forces de sécurité à faire preuve de retenue pour éviter de tels incidents regrettables».
Le Haut commissaire des Nations unies aux droits de l'Homme, Navi Pillay, avait exhorté mardi les autorités de Bahreïn à renoncer à un «usage excessif de la force» contre les manifestants pacifiques, alors que les Etats-Unis se sont dits «très préoccupés».
Dans le sillage des soulèvements tunisien et égyptien, des milliers de manifestants se sont rassemblés mardi dans le centre de Manama, certains réclamant à leur tour un changement de régime, après la mort de deux jeunes protestataires chiites.
L'un, Ali Mcheimeh, a succombé mardi à ses blessures reçues lundi soir lors de la dispersion d'une manifestation dans le village chiite de Diya, à l'est de Manama. Le deuxième, Fadel Salman Matrouk, a été tué par balle lors de la dispersion d'un rassemblement mardi devant un hôpital de Manama.