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Pour l'artiste, chaque œuvre de la cinquantaine de toiles exposées est le fruit d'une harmonie avec son sujet et se traduit par une véritable libération de ses émotions, ses couleurs et matières dont elle sculpte une sorte de calligraphie imaginaire marquant sa véritable identité.
Représentant l'image du Maroc et de la femme marocaine moderne, elle inscrit ainsi ses œuvres dans une dynamique universelle.
Cette exposition se veut une passerelle ouverte en faveur du dialogue artistique maroco-français, entre l'art pictural de l'artiste plasticienne et le styliste Sébastien Payen qui a présenté un défilé de robes sous le thème "Gnawa". Elle procède également d'une vision qui a pour ambition d'associer un art qui fige l'interprétation de l'instant à un savoir qui consacre la culture du mouvement.
Le vernissage a été ponctué d'intermèdes musicaux exécutés avec brio par la chanteuse Naziha Meftah (chants du Nord du Maroc), la cantatrice française Marylène Ingremeau (chants Ibnou Arabi) et le percussionniste marocain de renommée internationale Khalid Kouhen.
Née à Fès, Fatima Binet-Ouakka a choisi dès le départ la peinture à l'huile dont elle aime la puissance, la matière et l'odeur et elle a exalté la couleur jusqu'au paroxysme avec une prédilection pour un bleu très "Manessier" et des jaunes et des verts acidulés qui renvoient à la lumière de son pays d'origine.
Diplômée en psychologie et formée dans les arts plastiques, l'artiste, dont le nom revient fréquemment aujourd'hui dans le milieu des arts parisiens, a collectionné les salons et les expositions individuelles et collectives à travers la France ainsi qu'aux quatre coins du monde. Ses toiles ont voyagé en Suisse, Arabie Saoudite, Malaisie, Algérie, Chine, Arménie, Allemagne, Argentine, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres contrées.
Décorée Chevalier officielle académique "Greci-Marino" (Vebano) en Italie pour sa contribution dans l'organisation de nombreux Salons d'art plastique, Fatima Binet-Ouakka, dont les oeuvres figurent dans le "Dictionnaire de cotation des artistes modernes" depuis 2001, est lauréate de plusieurs Prix, notamment ceux de "Bosco Tatsuya Hirata" (Japon), "Paul Guth" (France) et de l'Association internationale d'arts plastiques (Unesco).
Représentant l'image du Maroc et de la femme marocaine moderne, elle inscrit ainsi ses œuvres dans une dynamique universelle.
Cette exposition se veut une passerelle ouverte en faveur du dialogue artistique maroco-français, entre l'art pictural de l'artiste plasticienne et le styliste Sébastien Payen qui a présenté un défilé de robes sous le thème "Gnawa". Elle procède également d'une vision qui a pour ambition d'associer un art qui fige l'interprétation de l'instant à un savoir qui consacre la culture du mouvement.
Le vernissage a été ponctué d'intermèdes musicaux exécutés avec brio par la chanteuse Naziha Meftah (chants du Nord du Maroc), la cantatrice française Marylène Ingremeau (chants Ibnou Arabi) et le percussionniste marocain de renommée internationale Khalid Kouhen.
Née à Fès, Fatima Binet-Ouakka a choisi dès le départ la peinture à l'huile dont elle aime la puissance, la matière et l'odeur et elle a exalté la couleur jusqu'au paroxysme avec une prédilection pour un bleu très "Manessier" et des jaunes et des verts acidulés qui renvoient à la lumière de son pays d'origine.
Diplômée en psychologie et formée dans les arts plastiques, l'artiste, dont le nom revient fréquemment aujourd'hui dans le milieu des arts parisiens, a collectionné les salons et les expositions individuelles et collectives à travers la France ainsi qu'aux quatre coins du monde. Ses toiles ont voyagé en Suisse, Arabie Saoudite, Malaisie, Algérie, Chine, Arménie, Allemagne, Argentine, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres contrées.
Décorée Chevalier officielle académique "Greci-Marino" (Vebano) en Italie pour sa contribution dans l'organisation de nombreux Salons d'art plastique, Fatima Binet-Ouakka, dont les oeuvres figurent dans le "Dictionnaire de cotation des artistes modernes" depuis 2001, est lauréate de plusieurs Prix, notamment ceux de "Bosco Tatsuya Hirata" (Japon), "Paul Guth" (France) et de l'Association internationale d'arts plastiques (Unesco).
