La région de l’Oriental vient en tête avec 5,9%, soit 136.791 personnes, suivie par Fès-Meknès (5,4% : 229.590), Béni Mellal-Khénifra (5,4% : 136.143 personnes), Marrakech-Safi, Souss-Massa et Guelmim-Oued Noun (5,2% chacune : respectivement, 235.496, 136.936 et 21.474 personnes), précise le HCP dans une note sur les personnes à besoins spécifiques au Maroc d’après les données du Recensement Général de la Population et de l’Habitat de 2014.
Par province, Driouch enregistre la prévalence la plus élevée avec 8,2% (17.215 personnes), suivie de Tata avec 7,5% (8.618 personnes), Tiznit avec 7,4% (15.130 personnes), Sidi Ifni avec 7,0% (8.097 personnes), Berkane avec 6,9% (19.906 personnes) et puis Ouezzane avec 6,8% (20.194 personnes), relève le HCP.
Par contre, les provinces qui enregistrent les plus faibles prévalences sont : Tan Tan avec 3,5% (2.997 personnes), suivies de Laâyoune avec 3,4% (7.922 personnes), Boujdour avec 2,7% (1.219 personnes), puis Aousserd avec 2,5% (60 personnes) et enfin Oued Ed-Dahab avec 2,4% (2.726 personnes), ajoute la même source.
Par commune, on constate que c’est au sein de la région de l’Oriental que la majorité des communes (68,5%, 85 communes) enregistrent une prévalence supérieure à la moyenne nationale (5,1%), suivie de la région de Souss-Massa (66,9%, 117 communes), puis la région de Fès-Meknès (65,3%, 130 communes) et la région de Béni Mellal-Khénifra (61,5%, 83 communes).
En revanche, les régions où la majorité des communes enregistrent une prévalence inférieure à 5,1%. Il s’agit de la région de Eddakhla-Oued Eddhab (100%, 9 communes), suivie de Laâyoune-Sakia El Hamra (80,0%, 16 communes), du Grand Casablanca-Settat (66,1%, 111 communes) et de Rabat-Salé-Kénitra (62,3%, 76 communes).