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«Notre objectif est de susciter, auprès de la population, une prise de conscience, un sentiment de responsabilité et d'engagement pour la protection de l'environnement, puis de provoquer, à travers la compétition cinématographique, forme ludique, pédagogique et artistique, un débat sur les problèmes majeurs de l'environnement », souligne Abdelkrim Bennani, président du FIFALE.
Une devise que le festival s'est promis de réaliser à travers la projection des films sélectionnés, ainsi que la programmation d'autres activités en parallèle qui mettent en exergue les efforts du Maroc en matière de lutte contre la désertification, la sauvegarde de l'eau et la protection de nos richesses animale et végétale. Ce qui a motivé les organisateurs à penser à une compétition cinématographique dans ce sens afin d'encourager à la réalisation de productions nationales prenant comme thème la faune et la flore marocaines.
L'idée du projet s'est développée chez la directrice du FIFALE, Danny Sarazin, puis s'est déclenchée après son installation à Rabat, il y a déjà plus d'une décennie. « J'ai découvert un pays aux paysages magnifiques et surtout une ville, Rabat, dotée d'une ceinture verte, ceinture protectrice, naturelle, symbole oh ! combien précurseur à cette époque et dans un pays comme le Maroc », se rappelle-t-elle. Un rêve qui a pris le chemin de la concrétisation, depuis 1996, après la rencontre de D.Sarazin avec le président de l'Association Ribat Al Fath pour le Développement Durable, l'accord du ministère de l'Environnement et l'octroi du Haut patronage de feu de S.M. le Roi Hassan II. De succès en succès, le festival a, ainsi, pris une bonne place au sein de la capitale et a commencé à fidéliser, d'année en année, des publics très diversifiés qui ont pu comprendre l'ampleur de cette manifestation, première du genre sur le continent africain, et le rôle qu'elle peut jouer pour éduquer et sensibiliser à la protection de l'environnement. Pour mieux atteindre ses aspirations, le FIFALE s'est, depuis sa création, adressé à la jeunesse en organisant des séances en partenariat avec des établissements scolaires de Rabat.
Mais, la réussite de la manifestation n'était pas sans embûches pour les organisateurs qui à chaque édition essayent d'innover, de créer de nouvelles idées afin de séduire et le public et les partenaires. «Nous devions apporter un nouveau souffle, de nouveaux objectifs, pour pérenniser le FIFALE et ne pas nous contenter de projeter des films, même inédits ou en avant-premières mondiales », renchérit la directrice du Festival. Le FIFALE s'est, ainsi, évertué à chercher de nouvelles orientations à partir d'une profonde réflexion et une nouvelle vision afin d'encourager, a priori, la production cinématographique au Maroc sur le thème de l'animal et de l'environnement. Tout en sachant que la réalisation d'un film animalier est une aventure de longue haleine qui demande patience, connaissance du milieu animal, implication dans la protection ou sauvegarde de la nature.
C'est l'ambition que le festival estime réaliser à travers la projection de documentaires, spécialement destinés aux élèves et étudiants pour qu'ils puissent prendre conscience de leur devoir envers l'environnement.
Car protéger l'animal et son environnement, c'est tout simplement protéger notre planète dans le seul but de léguer le meilleur des héritages aux générations futures.
Une devise que le festival s'est promis de réaliser à travers la projection des films sélectionnés, ainsi que la programmation d'autres activités en parallèle qui mettent en exergue les efforts du Maroc en matière de lutte contre la désertification, la sauvegarde de l'eau et la protection de nos richesses animale et végétale. Ce qui a motivé les organisateurs à penser à une compétition cinématographique dans ce sens afin d'encourager à la réalisation de productions nationales prenant comme thème la faune et la flore marocaines.
L'idée du projet s'est développée chez la directrice du FIFALE, Danny Sarazin, puis s'est déclenchée après son installation à Rabat, il y a déjà plus d'une décennie. « J'ai découvert un pays aux paysages magnifiques et surtout une ville, Rabat, dotée d'une ceinture verte, ceinture protectrice, naturelle, symbole oh ! combien précurseur à cette époque et dans un pays comme le Maroc », se rappelle-t-elle. Un rêve qui a pris le chemin de la concrétisation, depuis 1996, après la rencontre de D.Sarazin avec le président de l'Association Ribat Al Fath pour le Développement Durable, l'accord du ministère de l'Environnement et l'octroi du Haut patronage de feu de S.M. le Roi Hassan II. De succès en succès, le festival a, ainsi, pris une bonne place au sein de la capitale et a commencé à fidéliser, d'année en année, des publics très diversifiés qui ont pu comprendre l'ampleur de cette manifestation, première du genre sur le continent africain, et le rôle qu'elle peut jouer pour éduquer et sensibiliser à la protection de l'environnement. Pour mieux atteindre ses aspirations, le FIFALE s'est, depuis sa création, adressé à la jeunesse en organisant des séances en partenariat avec des établissements scolaires de Rabat.
Mais, la réussite de la manifestation n'était pas sans embûches pour les organisateurs qui à chaque édition essayent d'innover, de créer de nouvelles idées afin de séduire et le public et les partenaires. «Nous devions apporter un nouveau souffle, de nouveaux objectifs, pour pérenniser le FIFALE et ne pas nous contenter de projeter des films, même inédits ou en avant-premières mondiales », renchérit la directrice du Festival. Le FIFALE s'est, ainsi, évertué à chercher de nouvelles orientations à partir d'une profonde réflexion et une nouvelle vision afin d'encourager, a priori, la production cinématographique au Maroc sur le thème de l'animal et de l'environnement. Tout en sachant que la réalisation d'un film animalier est une aventure de longue haleine qui demande patience, connaissance du milieu animal, implication dans la protection ou sauvegarde de la nature.
Séances scolaires
La sensibilisation du jeune public aux problèmes liés à l'environnement et à la sauvegarde de leur patrimoine figure parmi les priorités du FIFALE. Ainsi, les séances scolaires ont été conçues, essentiellement, pour inciter et habituer les enfants à protéger leur cadre de vie par des gestes simples, des actes faciles à réaliser au quotidien.C'est l'ambition que le festival estime réaliser à travers la projection de documentaires, spécialement destinés aux élèves et étudiants pour qu'ils puissent prendre conscience de leur devoir envers l'environnement.
Car protéger l'animal et son environnement, c'est tout simplement protéger notre planète dans le seul but de léguer le meilleur des héritages aux générations futures.
