La décision du Parlement européen de ne pas reconduire l'accord a apporté un grand préjudice aux intérêts des professionnels du secteur, a dit M. Perez dans un entretien à la MAP en marge d'une rencontre à Londres sur la promotion de la pêche durable et responsable.
Le Maroc adoptait une approche positive durant les discussions précédant le vote sur l'accord au Parlement européen, a rappelé M. Perez, qui est également président d'Europêche (Fédération européenne des entreprises de pêche de l'UE).
Ce dernier a souligné que la décision du Parlement européen s'apparentait à « une trahison » à l'égard d'un partenaire comme le Maroc, lié à l'espace européen par des relations empreintes de confiance.
La décision a eu un impact négatif et direct sur de nombreux professionnels espagnols, en particulier ceux de la région d'Andalousie et des Iles Canaries, a déploré M. Perez, soulignant que ces professionnels, qui ont été contraints d'arrêter leurs activités, sont à présent sans emploi et attendent les compensations que le gouvernement espagnol doit leur verser dans le cadre du fonds européen de la pêche.
« Ces professionnels attendent avec impatience la reprise des négociations entre le Maroc et l'UE sur un nouvel accord », a-t-il dit, notant que l'impact de l'échec de renouveler l'accord a également eu un effet direct sur les professionnels dans d'autres pays européens, notamment en Pologne, aux Pays-Bas et au Portugal.
Le Maroc adoptait une approche positive durant les discussions précédant le vote sur l'accord au Parlement européen, a rappelé M. Perez, qui est également président d'Europêche (Fédération européenne des entreprises de pêche de l'UE).
Ce dernier a souligné que la décision du Parlement européen s'apparentait à « une trahison » à l'égard d'un partenaire comme le Maroc, lié à l'espace européen par des relations empreintes de confiance.
La décision a eu un impact négatif et direct sur de nombreux professionnels espagnols, en particulier ceux de la région d'Andalousie et des Iles Canaries, a déploré M. Perez, soulignant que ces professionnels, qui ont été contraints d'arrêter leurs activités, sont à présent sans emploi et attendent les compensations que le gouvernement espagnol doit leur verser dans le cadre du fonds européen de la pêche.
« Ces professionnels attendent avec impatience la reprise des négociations entre le Maroc et l'UE sur un nouvel accord », a-t-il dit, notant que l'impact de l'échec de renouveler l'accord a également eu un effet direct sur les professionnels dans d'autres pays européens, notamment en Pologne, aux Pays-Bas et au Portugal.