Les vingt économies les plus puissantes de la planète ont promis jeudi à Washington une réponse «forte et coordonnée» à la crise et de continuer à soutenir la croissance, y compris par le biais de leurs banques centrales, selon un communiqué publié à l'issue d'un dîner de travail.
Les ministres des Finances et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents du G20 s'engagent à «apporter une réponse internationale forte et coordonnée pour traiter les défis renouvelés que rencontre l'économie mondiale», selon le texte de ce communqué.
Ils promettent également de s'assurer que les «banques disposent d'un capital adéquat», après la dégringolade ces derniers jours des valeurs bancaires européennes, minées par les craintes liées à la crise de la dette dans la zone euro.
Les banques centrales, qui jouent depuis plusieurs semaines un rôle de pompier dans la crise, promettent de leur côté de continuer «à soutenir la reprise».
Le communiqué du G20 reprend en partie un précédent texte publié le 9 septembre par les pays riches du G7 et qui, déjà, promettait «une réponse forte et coordonnée» à la crise.
Le communiqué de jeudi précise toutefois, à la différence de celui du G7, qu'un «plan d'action collectif ambitieux, dans lequel chacun aura son rôle à jouer» devra être mis sur pieds avant le sommet du G20 à Cannes (sud de la France) début novembre.
Et là où le G7 promettait que les banques disposeraient, grâce aux banques centrales, de toute la liquidité nécessaire, les pays du G20 se sont cette fois engagés à s'assurer qu'elles disposeraient bien du capital nécessaire, face au redoublement des craintes sur la solidité du système bancaire en Europe, particulièrement en France et Allemagne.
Les ministres des Finances et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents du G20 s'engagent à «apporter une réponse internationale forte et coordonnée pour traiter les défis renouvelés que rencontre l'économie mondiale», selon le texte de ce communqué.
Ils promettent également de s'assurer que les «banques disposent d'un capital adéquat», après la dégringolade ces derniers jours des valeurs bancaires européennes, minées par les craintes liées à la crise de la dette dans la zone euro.
Les banques centrales, qui jouent depuis plusieurs semaines un rôle de pompier dans la crise, promettent de leur côté de continuer «à soutenir la reprise».
Le communiqué du G20 reprend en partie un précédent texte publié le 9 septembre par les pays riches du G7 et qui, déjà, promettait «une réponse forte et coordonnée» à la crise.
Le communiqué de jeudi précise toutefois, à la différence de celui du G7, qu'un «plan d'action collectif ambitieux, dans lequel chacun aura son rôle à jouer» devra être mis sur pieds avant le sommet du G20 à Cannes (sud de la France) début novembre.
Et là où le G7 promettait que les banques disposeraient, grâce aux banques centrales, de toute la liquidité nécessaire, les pays du G20 se sont cette fois engagés à s'assurer qu'elles disposeraient bien du capital nécessaire, face au redoublement des craintes sur la solidité du système bancaire en Europe, particulièrement en France et Allemagne.