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Former des compétences locales de niveau international

Signature d’un partenariat entre l’Université internationale de Casablanca et la Faculté de droit de l’Université française de Saint-Étienne.

Former des compétences locales  de niveau international
La filière Droit des affaires de l’UIC répond aux critères de recrutement des cabinets d’avocats d’affaires et des juristes d’entreprise très demandeurs en ressources humaines qualifiées.

Partenariat stratégique que celui signé entre l’Université internationale de Casablanca (UIC) et la Faculté de droit de l’Université française de Saint-Étienne (FDSE). Ce partenariat a été réfléchi en perspective du lancement, pour la rentrée universitaire 2012-2013, de la filière «Droit des affaires» de l’UIC. Tel que cela a été annoncé par ses instigateurs, ce partenariat vise à former des compétences locales de niveau international, l’objectif final étant de pouvoir répondre à la demande croissante, au Maroc, des cabinets d’avocats d’affaires et juristes d’entreprises en termes de ressources humaines au profil pointu.

En effet, annoncée en juin dernier, la filière Droit des affaires de l’UIC accueille ses premiers étudiants depuis quelques jours. En vertu de l’accord liant désormais l’UIC à la Faculté de droit de Saint-Étienne, cette première promotion bénéficie de facto des avantages stipulés par les clauses du partenariat. En ce sens, les étudiants de l’UIC ont la possibilité de suivre un semestre d’études au sein de la FDSE, et ce, à partir de la 3e année. Réciproquement, les bancs de l’UIC sont ouverts aux étudiants de la FDSE pour une période similaire.

Ce partenariat a également la latitude d’ouvrir aux étudiants de l’UIC la porte des Master 1 et Master 2 à la FDSE. Aussi, l’opportunité leur est offerte de bénéficier de la participation effective, dès ce mois-ci au sein de l’UIC, des enseignants officiant à la FDSE, tant au niveau des cours qu’au niveau des jurys d’évaluation des rapports de stages et mémoires de fin d’études.
Parallèlement, les étudiants inscrits dans la filières Droit des affaires ont la possibilité de collaborer à des activités de recherche (création d’une équipe de recherche en Droit à l’UIC et possibilité pour ce centre d’être intégré dans le centre de recherches de la FDSE). Enfin, il est à noter la mise en place d’un double diplôme entre la Licence de Droit des affaires de l’UIC et la FDSE.

«Outre sa dimension internationale, la filière Droit des affaires de l’UIC répond aux critères de recrutement des cabinets d’avocats d’affaires et des juristes d’entreprise très demandeurs en ressources humaines qualifiées, dans un contexte où les cabinets internationaux ouvrent des bureaux au Maroc, telles que “Clifford Chance”, “Allen & Overy”, “Norton Rose” ou encore “Bird & Bird”», indique le top management de l’UIC. Et de souligner: «Chaque étudiant se prépare aux exigences de la vie professionnelle grâce à des enseignements à forte valeur ajoutée, tant sur le plan pédagogique que sur le plan méthodologique. La formation assurée est complète et ne se limite pas à la maîtrise des différentes disciplines juridiques, dispensant d’autres disciplines indispensables à la connaissance du monde de l’entreprise.»
A ce propos, les autres disciplines en question concernent la comptabilité, la gestion, l’économie, le marketing, la fiscalité, les langues (anglais et arabe juridique obligatoires), l’informatique et la communication. L’on indique également que la formation présente l’avantage d’intégrer les stages en milieu professionnel dès la 1re année universitaire, ainsi que des semestres d’études à l’étranger (cursus francophones ou anglophones), et ce, jusqu’à la fin du cursus.

Par ailleurs, une bourse d’excellence totale pour cette filière est offerte par l’Américain Todd Benson, entrepreneur et conseiller de renom, ayant été l’associé gérant et le co-directeur global de «Citi Private Equity», qu’il a co-fondée en 2000 et qui s’est développée en une plate-forme de gestion d’actifs diversifiés à l’international avec des actifs sous gestion de 11 milliards de dollars. D’une valeur de 260 000 DH (65.000 DH/an), cette bourse couvrira les frais des études le long du cursus s’étalant sur quatre années. Le bénéficiaire est choisi selon deux critères : qu’il soit un élève méritant ayant décroché son Bac et qu’il soit issu d’un milieu défavorisé.

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