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Ce qui s'est passé à Agadir est inacceptable. Cela dépasse «l'erreur». Car la bévue est singulièrement ridicule. Et dire que l'arbitre incriminé figure sur la liste des referees qui seront promus au statut d'arbitre… international. Allons donc !
Aujourd'hui, on aura compromis certainement que les «atermoiements» de la Ligue du Gharb par exemple n'étaient pas de simples velléités à visant à descendre gratuitement un bureau constitué essentiellement de gens qui ne cachent pas leur animosité au président de cette Ligue.
La Ligue du Gharb compte actuellement 42 arbitres fin prêts pour officier n'importe quel match dans un championnat aussi modeste que le nôtre. Combien parmi eux ont-ils la chance de figurer sur la liste des arbitres opérationnels ? Il y en a… deux !?
D'abord El Guezzaz arbitre international, et Idrissi Zougari, arbitre fédéral. Et bien voilà la représentativité de la 2ème Ligue en terme de nombre de clubs et de licences. Une ligue qui dispose de toute une chaîne d'écoles d'arbitrage qui finit par produire des… chômeurs.
Et quand la Ligue du Gharb dénonce fort sa marginalisation, le cri part dans le vide. Pire encore, la CCA n'a pas hésité à tirer à boulets rouges sur un arbitre du Gharb, lors d'une émission du Monde du 114. Une attaque sentait le règlement de compte. Qui vivra verra !
Aujourd'hui, on se demande quels seraient encore les arguments que pourraient étaler les laudateurs et autres membres de la CCA. Jusqu'à présent, elle n'a fait que gérer des conflits créés, par arbitres interposés, avec la sphère footballitique. Et dire que son objet est beaucoup plus noble, à savoir préparer une relève pour combler les départs à la retraite.
Comme quoi, on a beau faire dans le discours, mais la réalité est le meilleur témoin de l'anarchie qui sévit dans cette institution qui constitue pourtant un des piliers principaux pour asseoir un football compétitif dans la perspective du passage à l'ère du professionnalisme.
Jusqu'à quand les instances de tutelle vont-elles continuer d'observer le… silence ?
Aujourd'hui, on aura compromis certainement que les «atermoiements» de la Ligue du Gharb par exemple n'étaient pas de simples velléités à visant à descendre gratuitement un bureau constitué essentiellement de gens qui ne cachent pas leur animosité au président de cette Ligue.
La Ligue du Gharb compte actuellement 42 arbitres fin prêts pour officier n'importe quel match dans un championnat aussi modeste que le nôtre. Combien parmi eux ont-ils la chance de figurer sur la liste des arbitres opérationnels ? Il y en a… deux !?
D'abord El Guezzaz arbitre international, et Idrissi Zougari, arbitre fédéral. Et bien voilà la représentativité de la 2ème Ligue en terme de nombre de clubs et de licences. Une ligue qui dispose de toute une chaîne d'écoles d'arbitrage qui finit par produire des… chômeurs.
Et quand la Ligue du Gharb dénonce fort sa marginalisation, le cri part dans le vide. Pire encore, la CCA n'a pas hésité à tirer à boulets rouges sur un arbitre du Gharb, lors d'une émission du Monde du 114. Une attaque sentait le règlement de compte. Qui vivra verra !
Aujourd'hui, on se demande quels seraient encore les arguments que pourraient étaler les laudateurs et autres membres de la CCA. Jusqu'à présent, elle n'a fait que gérer des conflits créés, par arbitres interposés, avec la sphère footballitique. Et dire que son objet est beaucoup plus noble, à savoir préparer une relève pour combler les départs à la retraite.
Comme quoi, on a beau faire dans le discours, mais la réalité est le meilleur témoin de l'anarchie qui sévit dans cette institution qui constitue pourtant un des piliers principaux pour asseoir un football compétitif dans la perspective du passage à l'ère du professionnalisme.
Jusqu'à quand les instances de tutelle vont-elles continuer d'observer le… silence ?
