Hier, au siège de la wilaya du Grand Casablanca, M. Mohamed M'Barki, secrétaire d'Etat chargé de l'Habitat, accompagné du wali, M. Driss Benhima, des gouverneurs des préfectures de Casablanca et du président de l'Ordre 110nal des architectes, M. Ahmed Nekmouche, a présidé une Journée-rencontre sur l'identité architecturale de la ville; celle de la capitale économique.
Plusieurs architectes et élus ont pris part à cette journée qui a constitué l'événement à Casablanca. Les débats, fort intéressants d'ailleurs, ont porté sur le patrimoine prestigieux, architectural et urbain de la ville. Casablanca, qui inaugure une ère nouvelle, caractérisée par une dynamique de changement, imprimée par la volonté Royale, surtout après le discours du 20 août, préoccupe administration et privé. Elle abrite plus du tiers des 770.000 foyers vivant dans les bidonvilles et l'habitat insalubre. Elle qui, au dessus de ses boulevards prestigieux se dressent des baraques qui ternissent son image de marque et entravent toute initiative tendant à développer tout investissement industriel ou touristique.
La Journée de réflexion, conviviale par ailleurs, a permis aux intervenants de transmettre leurs pensées et de dire le non dit à propos d'une ville dont l'architecture est menacée par des agissements qui dépassent le financier et le social. C'est le politique, affirme-t-on, qui nuit de très près au patrimoine architectural.
Plusieurs architectes et élus ont pris part à cette journée qui a constitué l'événement à Casablanca. Les débats, fort intéressants d'ailleurs, ont porté sur le patrimoine prestigieux, architectural et urbain de la ville. Casablanca, qui inaugure une ère nouvelle, caractérisée par une dynamique de changement, imprimée par la volonté Royale, surtout après le discours du 20 août, préoccupe administration et privé. Elle abrite plus du tiers des 770.000 foyers vivant dans les bidonvilles et l'habitat insalubre. Elle qui, au dessus de ses boulevards prestigieux se dressent des baraques qui ternissent son image de marque et entravent toute initiative tendant à développer tout investissement industriel ou touristique.
La Journée de réflexion, conviviale par ailleurs, a permis aux intervenants de transmettre leurs pensées et de dire le non dit à propos d'une ville dont l'architecture est menacée par des agissements qui dépassent le financier et le social. C'est le politique, affirme-t-on, qui nuit de très près au patrimoine architectural.