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Les services de la Wilaya ont donc fait appel à une experte parisienne en restauration et conservation, Caroline d'Assay. Les deux oeuvres, après avoir été déposées, ont été encollées sur des toiles neuves afin de leur donner plus de solidité, et les perforations de «Moussem» ont été colmatées avec des couleurs d'origines. Il semble que Majorelle utilisait des pigments naturels. De nouvelles fixations ont été implantées sur les murs afin que les toiles ne soient plus en contact avec le mur, de plus les vitres toutes proches qui éclairaient les toiles ont été changées afin d'empêcher la lumière de les atteindre.
Rappelons que l'édifice de la Wilaya, que l'on appelait «Services municipaux», a été inauguré en 1937, les travaux de construction ayant duré dix ans. L'architecte en était Marius Boyer qui a beaucoup construit à Casablanca notamment l'ex Villa Mokri, «les Tourelles» bd Rachidi, le siège de la BCM rue Driss Lahrizi ou...le siège de notre groupe «Maroc-Soir». La Wilaya , encore non classée, est un des plus beaux monuments de la ville situé place Mohammed V (ex 110ns Unies),elle forme un ensemble avec le Tribunal et la Grande poste, sa décoration intérieure est de toute beauté notamment les zelliges ornant les colonnes du premier étage et les deux bassins du grand patio.
La restauration doit se poursuivre en ce qui concerne le ciel de «Ahouach» qui doit retrouver ses couleurs. On ne connaît pas le nom du promoteur qui a financé le projet.
Rappelons que l'édifice de la Wilaya, que l'on appelait «Services municipaux», a été inauguré en 1937, les travaux de construction ayant duré dix ans. L'architecte en était Marius Boyer qui a beaucoup construit à Casablanca notamment l'ex Villa Mokri, «les Tourelles» bd Rachidi, le siège de la BCM rue Driss Lahrizi ou...le siège de notre groupe «Maroc-Soir». La Wilaya , encore non classée, est un des plus beaux monuments de la ville situé place Mohammed V (ex 110ns Unies),elle forme un ensemble avec le Tribunal et la Grande poste, sa décoration intérieure est de toute beauté notamment les zelliges ornant les colonnes du premier étage et les deux bassins du grand patio.
La restauration doit se poursuivre en ce qui concerne le ciel de «Ahouach» qui doit retrouver ses couleurs. On ne connaît pas le nom du promoteur qui a financé le projet.
