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Cette causerie a été animée par M. Mustapha Benhamza, président du conseil des ouléma d'Oujda, qui a abordé le thème illustrations sur la préservation divine entourant le saint Coran, à la lumière du verset coranique : nous sommes les révélateurs du saint Coran et nous en sommes les protecteurs. D'emblée, le conférencier a fait le lien entre le thème de la causerie et la conjoncture internationale, qui, selon lui, requiert un recours judicieux au bon exemple et un effort sincère pour asseoir un dialogue civilisationnel avec pour principal axiome : tout un chacun œuvre à faire connaître ce qu'il a. En abordant les différentes illustrations prouvant la préservation divine du saint-Coran, le conférencier s'est penché sur la définition et les sens profonds des vocables utilisés par ce verset. Et d'enchaîner, par le biais d'une approche linguistique, puisant aussi bien dans les règles de la grammaire que de la rhétorique, pour décortiquer le sens de la partie du verset : (..) et nous en sommes les protecteurs.
Le conférencier a souligné à ce propos que la préservation divine du saint Coran n'est pas limitée dans le temps. L'action, est à ce titre, conjuguée au présent pour justement refléter son caractère permanent et son maintien dans la durée, a dit le conférencier. Le recours à des procédés rhétoriques spécifiques vise à susciter sérénité et quiétude chez les croyants et les rassurer quant au destin éternel du Livre sacré.
La révélation du Coran sur une durée de vingt-trois années constitue un indice supplémentaire sur la préservation divine du Livre saint, a dit le conférencier, faisant remarquer que les écarts temporels avaient pour but de donner aux croyants suffisamment de temps pour mémoriser et pour s'imprégner des versets révélés et en même temps pour susciter chez eux davantage de ferveur pour ce qui s'en suivra. Citant d'autres illustrations de la préservation divine du Livre sacré, le conférencier a rappelé les miracles des autres Prophètes tels que Moïse, son bâton et l'ouverture de la Mer, Jésus et sa capacité à ressusciter les morts et ses dons se rapportant à la guérison de la lèpre et des muets, notant que les miracles dont le Tout-Puisant a doté ces Prophètes n'avaient aucun lien avec l'objet de leurs prédications et partant ces miracles sont restés dans les annales de l'Histoire, cessant d'exister avec la disparition des envoyés de Dieu.
A contrario, le Coran, miracle du Prophète Sidna Mohammed, paix et prière soient sur Lui, est toujours d'actualité, constituant un champ fertile pour la recherche et l'exégèse, a dit le conférencier, ajoutant que le style du Livre sacré a été établi d'une manière qui ne saurait souffrir l'ajout et encore moins l'altération. La force de sa rhétorique et la beauté de son style sont autant d'ingrédients linguistiques qui suscitent l'engouement des croyants et leur ferveur, a ajouté M. Benhamza. Autre aspect de la préservation divine du Livre sacré, a poursuivi le conférencier, s'illustre à travers le travail de sa compilation qui a commencé peu de temps après la mort du Prophète sous l'impulsion d'Abou Bakr et de Omar Ibn Al Khattab qui ont incité Zaïd Ibn Tabit à superviser cette entreprise à un moment où les personnes qui mémorisaient le Coran étaient en nombre suffisant.
Le début effectif de la complication sous l'ère du Kalife Othman Ibn A'afan apporté la lumière sur un autre aspect de la préservation du Coran à un moment où les autres religions révélées ont perdu de leur essence et certaines parties de leurs livres ont été reproduites bien après leur révélation ce qui a donné lieu à des copies disparates, a soutenu le conférencier.
La calligraphie ottomane, style d'écriture du Coran par référence au 3ème khalife de l'Islam Othman Ibn A'afan, a été la dernière illustration citée par le conférencier, qui a noté que son maintien par la majorité des ouléma est la parfaite illustration de la préservation du Livre sacré, qu'étaye par ailleurs le contenu du verset thème de cette causerie.
A l'issue de cette causerie, Sa Majesté a été salué par plusieurs éminents ouléma représentant les différents pays arabes et islamiques qui assistent aux causeries religieuses.
A cette occasion, M. Youssef Kettani a présenté à S.M. le Roi des numéros de la revue «Assuna Annabaouia», éditée par l'Association Imam Boukhari. Première en son genre, Assuna Annabaouia est une revue académique spécialisée dans les études contemporaines.
Le directeur de l'Organisation arabe pour le développement industriel et minier (OADIM), M. Talâat Ben Dafer, a présenté au Souverain un livre intitulé : Vérités et chiffres sur la renaissance industrielle et minière dans le Royaume du Maroc.
Le conférencier a souligné à ce propos que la préservation divine du saint Coran n'est pas limitée dans le temps. L'action, est à ce titre, conjuguée au présent pour justement refléter son caractère permanent et son maintien dans la durée, a dit le conférencier. Le recours à des procédés rhétoriques spécifiques vise à susciter sérénité et quiétude chez les croyants et les rassurer quant au destin éternel du Livre sacré.
La révélation du Coran sur une durée de vingt-trois années constitue un indice supplémentaire sur la préservation divine du Livre saint, a dit le conférencier, faisant remarquer que les écarts temporels avaient pour but de donner aux croyants suffisamment de temps pour mémoriser et pour s'imprégner des versets révélés et en même temps pour susciter chez eux davantage de ferveur pour ce qui s'en suivra. Citant d'autres illustrations de la préservation divine du Livre sacré, le conférencier a rappelé les miracles des autres Prophètes tels que Moïse, son bâton et l'ouverture de la Mer, Jésus et sa capacité à ressusciter les morts et ses dons se rapportant à la guérison de la lèpre et des muets, notant que les miracles dont le Tout-Puisant a doté ces Prophètes n'avaient aucun lien avec l'objet de leurs prédications et partant ces miracles sont restés dans les annales de l'Histoire, cessant d'exister avec la disparition des envoyés de Dieu.
A contrario, le Coran, miracle du Prophète Sidna Mohammed, paix et prière soient sur Lui, est toujours d'actualité, constituant un champ fertile pour la recherche et l'exégèse, a dit le conférencier, ajoutant que le style du Livre sacré a été établi d'une manière qui ne saurait souffrir l'ajout et encore moins l'altération. La force de sa rhétorique et la beauté de son style sont autant d'ingrédients linguistiques qui suscitent l'engouement des croyants et leur ferveur, a ajouté M. Benhamza. Autre aspect de la préservation divine du Livre sacré, a poursuivi le conférencier, s'illustre à travers le travail de sa compilation qui a commencé peu de temps après la mort du Prophète sous l'impulsion d'Abou Bakr et de Omar Ibn Al Khattab qui ont incité Zaïd Ibn Tabit à superviser cette entreprise à un moment où les personnes qui mémorisaient le Coran étaient en nombre suffisant.
Le début effectif de la complication sous l'ère du Kalife Othman Ibn A'afan apporté la lumière sur un autre aspect de la préservation du Coran à un moment où les autres religions révélées ont perdu de leur essence et certaines parties de leurs livres ont été reproduites bien après leur révélation ce qui a donné lieu à des copies disparates, a soutenu le conférencier.
La calligraphie ottomane, style d'écriture du Coran par référence au 3ème khalife de l'Islam Othman Ibn A'afan, a été la dernière illustration citée par le conférencier, qui a noté que son maintien par la majorité des ouléma est la parfaite illustration de la préservation du Livre sacré, qu'étaye par ailleurs le contenu du verset thème de cette causerie.
A l'issue de cette causerie, Sa Majesté a été salué par plusieurs éminents ouléma représentant les différents pays arabes et islamiques qui assistent aux causeries religieuses.
A cette occasion, M. Youssef Kettani a présenté à S.M. le Roi des numéros de la revue «Assuna Annabaouia», éditée par l'Association Imam Boukhari. Première en son genre, Assuna Annabaouia est une revue académique spécialisée dans les études contemporaines.
Le directeur de l'Organisation arabe pour le développement industriel et minier (OADIM), M. Talâat Ben Dafer, a présenté au Souverain un livre intitulé : Vérités et chiffres sur la renaissance industrielle et minière dans le Royaume du Maroc.
