Après le nouveau nul du Ghana devant l'Afrique du Sud (0-O) c'est le sixième résultat du genre enregistré dans ce 1er tour dans les quatre groupes et le septième si l'on ajoute celui du match d'ouverture Mali-Libéria mais avec deux buts (1-1).
La peur de perdre, pousse les entraîneurs à adopter des tactiques ultra-défensives afin d'éviter une défaite toujours synonyme de limogeage car, l'obligation de résultats positifs est comme une épée de Damoclès suspendue sur la tête des coaches.
Alors autant se préserver du désagrément (pour employer un euphémisme) d'un débarquement du banc de touche en faisant jouer ses troupes regroupés derrière.
Quadriller un terrain est affaire d'organisation pour peu que toute l'équipe participe au travail de récupération du ballon et on sait qu'avec pareil système, les attaquants déjà réduits au minimum, s'essoufflent en venant prêter main forte à leurs coéquipiers en défense. Et quand il leur arrive de repartir vers le front de l'attaque, ces attaquants n'ont plus le jus nécessaire pour prendre le meilleur sur des défenseurs scotchés dans leur zone pour dégager le plus loin possible le ballon.
Jusqu'à présent, toutes les sélections africaines ont abordé leurs rencontres avec une extrême prudence, verrouillant tous les espaces pour s'en remettre à un éventuel coup d'éclat d'une de leurs vedettes mais apparemment ça coince de ce côté là et dans le meilleur des cas, on ne voit pas plus de deux à trois occasions par match pour chaque camp.
La peur de perdre, pousse les entraîneurs à adopter des tactiques ultra-défensives afin d'éviter une défaite toujours synonyme de limogeage car, l'obligation de résultats positifs est comme une épée de Damoclès suspendue sur la tête des coaches.
Alors autant se préserver du désagrément (pour employer un euphémisme) d'un débarquement du banc de touche en faisant jouer ses troupes regroupés derrière.
Quadriller un terrain est affaire d'organisation pour peu que toute l'équipe participe au travail de récupération du ballon et on sait qu'avec pareil système, les attaquants déjà réduits au minimum, s'essoufflent en venant prêter main forte à leurs coéquipiers en défense. Et quand il leur arrive de repartir vers le front de l'attaque, ces attaquants n'ont plus le jus nécessaire pour prendre le meilleur sur des défenseurs scotchés dans leur zone pour dégager le plus loin possible le ballon.
Jusqu'à présent, toutes les sélections africaines ont abordé leurs rencontres avec une extrême prudence, verrouillant tous les espaces pour s'en remettre à un éventuel coup d'éclat d'une de leurs vedettes mais apparemment ça coince de ce côté là et dans le meilleur des cas, on ne voit pas plus de deux à trois occasions par match pour chaque camp.