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Le Fonds indique dans une note, parvenue mercredi à la MAP, que ces engagements ont fait l'objet de 49 conventions signées en septembre 2000 et avril 2001 et seront concrétisés parallèlement à la réalisation de projets programmées pour la période 2000-2006, sous forme de prise de participation et d'avances. Les projets bénéficiaires sont nombreux et diversifiés. Ils concernent l'infrastructure industrielle, touristique et autoroutière, l'habitat social, le développement rural, la pêche maritime, la communication et la culture, la promotion de l'emploi et les nouvelles technologies des télécommunications et de l'information. En matière d'habitat social et insalubre, le Fonds a engagé 1,62 milliard de DH en faveur de 13 projets portant sur la réalisation de 23.000 logements sociaux, 1.500 commerces, 6.500 lots de restructuration, ainsi que l'aménagement et la promotion de l'avenue Royale de la Corniche de Casablanca.
De même, le programme de résorption de l'habitat insalubre, qui concerne 630.000 ménages repartis sur tout le territoire national bénéficiera du soutien du Fonds. L'objectif étant d'éradiquer ce type d'habitat à l'horizon 2010. Dans le domaine industriel, les engagements du Fonds s'établissent à 500 millions de DH pour l'aménagement de 10 zones industrielles et l'octroi d'aide pour l'acquisition de terrains. D'un coût total dépassant 4,5 milliards, ces zones donneront lieu à des investissement de l'ordre de 19 milliards de DH devant générer 71.000 emplois. Huit autres projets de zone industrielle, d'une superficie globale de 886 ha, sont au programme. Ces zones doivent mobiliser 50 milliards de DH d'investissement et générer 210.000 postes d'emploi, précise-t-on dans la note. En vue de faciliter l'accès des PME-PMI aux crédits bancaires, cet établissement envisage d'injecter des Fonds de financement et de garantie, qui seront mis en place et gérés par des organismes financiers. Dans ce cadre, la part du financement du Fonds Hassan II dans les crédits conjoints avec les banques sera accordée à des taux bonifiés. En outre, le Fonds a participé pour 1 milliard de DH au programme autoroutier, sous forme de recapitalisation de la société nationale des autoroutes du Maroc, et alloué 1 milliard de DH pour le projets de sauvegarde de la zone agrumicole de Sebt El Guerdane dans le Souss (10.000 ha) et d'irrigation du Gharb - 3ème tranche (26.320 ha). La création de ce Fonds procède de la volonté de feu S.M. Hassan II, manifestée dans son discours à la nation du 8 juillet 1999 à l'occasion de la Fête de la Jeunesse.
De même, le programme de résorption de l'habitat insalubre, qui concerne 630.000 ménages repartis sur tout le territoire national bénéficiera du soutien du Fonds. L'objectif étant d'éradiquer ce type d'habitat à l'horizon 2010. Dans le domaine industriel, les engagements du Fonds s'établissent à 500 millions de DH pour l'aménagement de 10 zones industrielles et l'octroi d'aide pour l'acquisition de terrains. D'un coût total dépassant 4,5 milliards, ces zones donneront lieu à des investissement de l'ordre de 19 milliards de DH devant générer 71.000 emplois. Huit autres projets de zone industrielle, d'une superficie globale de 886 ha, sont au programme. Ces zones doivent mobiliser 50 milliards de DH d'investissement et générer 210.000 postes d'emploi, précise-t-on dans la note. En vue de faciliter l'accès des PME-PMI aux crédits bancaires, cet établissement envisage d'injecter des Fonds de financement et de garantie, qui seront mis en place et gérés par des organismes financiers. Dans ce cadre, la part du financement du Fonds Hassan II dans les crédits conjoints avec les banques sera accordée à des taux bonifiés. En outre, le Fonds a participé pour 1 milliard de DH au programme autoroutier, sous forme de recapitalisation de la société nationale des autoroutes du Maroc, et alloué 1 milliard de DH pour le projets de sauvegarde de la zone agrumicole de Sebt El Guerdane dans le Souss (10.000 ha) et d'irrigation du Gharb - 3ème tranche (26.320 ha). La création de ce Fonds procède de la volonté de feu S.M. Hassan II, manifestée dans son discours à la nation du 8 juillet 1999 à l'occasion de la Fête de la Jeunesse.
