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Seulement au lieu de se réjouir de leurs qualités et de leur disponibilité, ces derniers hésitent à leur permettre de rejoindre leur sélection nationale à la veille d'une rencontre et davantage lorsqu'il s'agit d'une épreuve à dimension continentale, comme la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) qui doit se dérouler au Mali du 19 janvier au 10 février.
Les règlements définis et codifiés par l'instance suprême la FIFA, sont, pourtant clairs: ils font obligation aux clubs de mettre leurs internationaux à la disposition de leur pays d'origine. Aussi les clubs européens utilisent-ils divers stratagèmes pour les contraindre à rester au service de ceux “qui les payent” chaque fin de mois.
Craignant d'être amoindris sur le terrain par le départ de toute leur légion d'internationaux, ces clubs exercent toutes sortes de menaces à leur encontre (remise en cause d'un contrat de prolongation, perte d'une place de titulaire, etc.).
Ce genre de chantage ne touche que les Africains. La raison en est simple: ils sont mal défendus et ils prennent vite peur de voir ces sanctions leur tomber sur la tête sans que personne ne prenne leur défense. Ce qui n'est pas le cas pour les autres internationaux européens ou sud-américains. Pourquoi ?
Tout simplement parce que les clubs qui s'aviseraient à les retenir contre leur gré ou en violation des règlements de la FIFA seraient violemment attaqués par leurs Fédérations nationales et par leurs confédérations continentales. De plus, leur seul statut de star ferait réfléchir tout dirigeant de club qui voudrait s'attaquer à eux.
Le chantage exercé contre les joueurs africains évoluant en Europe étant sévèrement punis par la Fédération internationale de football, les menaces contre eux se font en douce. Notamment au moment de la conclusion de leur contrat de recrutement. D'où la série de défections d'internationaux africains à la veille de cette CAN 2002.
La Confédération Africaine de Football (CAF), l'instance continentale du ballon rond devrait songer à alerter la FIFA sur ce genre de pratiques intolérables, faute de quoi le niveau des compétitions internationales africaines chuterait en raison de l'absence des meilleures stars de notre continent.
Les règlements définis et codifiés par l'instance suprême la FIFA, sont, pourtant clairs: ils font obligation aux clubs de mettre leurs internationaux à la disposition de leur pays d'origine. Aussi les clubs européens utilisent-ils divers stratagèmes pour les contraindre à rester au service de ceux “qui les payent” chaque fin de mois.
Craignant d'être amoindris sur le terrain par le départ de toute leur légion d'internationaux, ces clubs exercent toutes sortes de menaces à leur encontre (remise en cause d'un contrat de prolongation, perte d'une place de titulaire, etc.).
Ce genre de chantage ne touche que les Africains. La raison en est simple: ils sont mal défendus et ils prennent vite peur de voir ces sanctions leur tomber sur la tête sans que personne ne prenne leur défense. Ce qui n'est pas le cas pour les autres internationaux européens ou sud-américains. Pourquoi ?
Tout simplement parce que les clubs qui s'aviseraient à les retenir contre leur gré ou en violation des règlements de la FIFA seraient violemment attaqués par leurs Fédérations nationales et par leurs confédérations continentales. De plus, leur seul statut de star ferait réfléchir tout dirigeant de club qui voudrait s'attaquer à eux.
Le chantage exercé contre les joueurs africains évoluant en Europe étant sévèrement punis par la Fédération internationale de football, les menaces contre eux se font en douce. Notamment au moment de la conclusion de leur contrat de recrutement. D'où la série de défections d'internationaux africains à la veille de cette CAN 2002.
La Confédération Africaine de Football (CAF), l'instance continentale du ballon rond devrait songer à alerter la FIFA sur ce genre de pratiques intolérables, faute de quoi le niveau des compétitions internationales africaines chuterait en raison de l'absence des meilleures stars de notre continent.
