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Elle ronge les neurones et dissipe les énergies. Elle est vecteur de nuisance et sème la zizanie parmi les troupes les plus dociles mais les plus vulnérables. Elle se prénomme la RUMEUR. Elle est très ancienne et ne se démode jamais. Et lorsque l'on se fait prendre à son piège, les dégâts sont difficilement rattrapables. Pourquoi ? Parce qu'elle se développe comme la gangrène en absence de communication fiable et crédible. Et c'est bien là l'arme des plus intelligents mais vicieux qui, pour vérifier la vraie information, jettent le doute et le mensonge aux yeux des plus crédules.
Résultats : les énergies s'amenuisent et les idées s'entremêlent dans les cerveaux les plus sains. Que faire justement lorsque le mal est jeté pour désarçonner une équipe gagnante ou performante ?
La communication interne est née en partie pour mettre fin à la rumeur. Le dosage des informations à faire passer aux collaborateurs est cependant nécessaire pour éviter la surchauffe des esprits.
Car l'unique objectif est la clarté. Sans elle, le climat ne pourra pas permettre le développement des compétences. Il est déterminant pour instaurer des relations claires entre les différents collaborateurs.
En revanche, si la rumeur persiste même après l'administration d'une communication structurée, la mise au point entre les personnes concernées en présence d'un représentant de la direction générale
s'impose de fait.
La nécessité de l'effectuer se justifie si la rumeur nuit au bon déroulement des actions.
En réalité et précisément au Maroc, le phénomène alimente les discours…La déperdition des énergies et du temps en est la conséquence. La compétitivité est pourtant attendue par les chefs d'entreprises. Elle ne peut pas être freinée par la rumeur quelle que soit sa teneur. Les managers doivent en tenir compte dans leur façon de gérer leurs équipes.
Il en va de leur concentration et leur disponibilité intellectuelle, on l'aura bien compris ! Les plus sages ne se sentiront pas du tout concernés par ce phénomène de salon. Ils poursuivront leur chemin sereinement sans se soucier de leur environnement extérieur. Leur leitmotiv est clair : l'atteinte des objectifs fixés par la direction générale. La reconnaissance de leur maturité et de leur performance ne fera qu'augmenter leur rendement. Le cas contraire n'y changera rien. Car leur engagement demeurera constant. Professionnalisme oblige !
Résultats : les énergies s'amenuisent et les idées s'entremêlent dans les cerveaux les plus sains. Que faire justement lorsque le mal est jeté pour désarçonner une équipe gagnante ou performante ?
La communication interne est née en partie pour mettre fin à la rumeur. Le dosage des informations à faire passer aux collaborateurs est cependant nécessaire pour éviter la surchauffe des esprits.
Car l'unique objectif est la clarté. Sans elle, le climat ne pourra pas permettre le développement des compétences. Il est déterminant pour instaurer des relations claires entre les différents collaborateurs.
En revanche, si la rumeur persiste même après l'administration d'une communication structurée, la mise au point entre les personnes concernées en présence d'un représentant de la direction générale
s'impose de fait.
La nécessité de l'effectuer se justifie si la rumeur nuit au bon déroulement des actions.
En réalité et précisément au Maroc, le phénomène alimente les discours…La déperdition des énergies et du temps en est la conséquence. La compétitivité est pourtant attendue par les chefs d'entreprises. Elle ne peut pas être freinée par la rumeur quelle que soit sa teneur. Les managers doivent en tenir compte dans leur façon de gérer leurs équipes.
Il en va de leur concentration et leur disponibilité intellectuelle, on l'aura bien compris ! Les plus sages ne se sentiront pas du tout concernés par ce phénomène de salon. Ils poursuivront leur chemin sereinement sans se soucier de leur environnement extérieur. Leur leitmotiv est clair : l'atteinte des objectifs fixés par la direction générale. La reconnaissance de leur maturité et de leur performance ne fera qu'augmenter leur rendement. Le cas contraire n'y changera rien. Car leur engagement demeurera constant. Professionnalisme oblige !
