«Nous avons décidé de constituer un comité d'experts conjoint qui va travailler immédiatement sur la définition des termes de référence» d'un programme de développement de pépinières pour soutenir le Maroc dans ses efforts de production d'arbres forestiers, a déclaré à la MAP, le Haut commissaire aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la Désertification, Abdeladim Lhafi, à l'issue d'une réunion de travail avec son homologue allemand Clemens Neumann.
Il s'agit de bénéficier de l'expertise et du savoir-faire allemands dans ce domaine, a dit le responsable marocain, en marge de sa participation à la 9ème session du Forum des Nations Unies sur les forêts.
Le Maroc plante chaque année 50 millions d'arbres par an, soit une moyenne annuelle de 50.000 hectares de reboisement, de régénération et d'amélioration sylvopastorale, rappelle-t-on.
«Nous voulons affiner notre technologie en la matière et mettre à niveau nos pépinières en augmentant leur capacité de production» pour qu'elles puissent accompagner ce programme de reboisement, a expliqué Lhafi.
Au cours de cette rencontre, les deux parties ont, également, évoqué un projet régional, lancé il y a deux semaine à Rabat, visant à adapter les forêts méditerranéennes aux changements climatiques. Ce programme dont le Maroc est le coordonnateur principal, regroupe la Turquie, la Syrie, le Liban, la Tunisie et l'Algérie. Il bénéficie d'une enveloppe de 4 millions d'euros sur quatre ans.
Lhafi et son homologue allemand ont, en outre, examiné, les programmes en matière de préservation de la biodiversité, un «axe fondamental de la coopération bilatérale» et qui regroupe principalement la protection des espèces animales et le développement de la politique des parcs nationaux et des aires protégées.
Il s'agit de bénéficier de l'expertise et du savoir-faire allemands dans ce domaine, a dit le responsable marocain, en marge de sa participation à la 9ème session du Forum des Nations Unies sur les forêts.
Le Maroc plante chaque année 50 millions d'arbres par an, soit une moyenne annuelle de 50.000 hectares de reboisement, de régénération et d'amélioration sylvopastorale, rappelle-t-on.
«Nous voulons affiner notre technologie en la matière et mettre à niveau nos pépinières en augmentant leur capacité de production» pour qu'elles puissent accompagner ce programme de reboisement, a expliqué Lhafi.
Au cours de cette rencontre, les deux parties ont, également, évoqué un projet régional, lancé il y a deux semaine à Rabat, visant à adapter les forêts méditerranéennes aux changements climatiques. Ce programme dont le Maroc est le coordonnateur principal, regroupe la Turquie, la Syrie, le Liban, la Tunisie et l'Algérie. Il bénéficie d'une enveloppe de 4 millions d'euros sur quatre ans.
Lhafi et son homologue allemand ont, en outre, examiné, les programmes en matière de préservation de la biodiversité, un «axe fondamental de la coopération bilatérale» et qui regroupe principalement la protection des espèces animales et le développement de la politique des parcs nationaux et des aires protégées.