La 2e conférence arabo-européenne sur le soutien aux Petites et moyennes entreprises (PME), qui a ouvert ses travaux lundi à Milan (nord de l'Italie), est un événement qui a une portée stratégique au plan économique mais qui revêt également une valeur politique majeure, ont souligné les participants.
Outre sa portée stratégique pour les relations économiques et commerciales, cette conférence aura des retombées positives sur le plan des relations internationales, ont affirmé plusieurs intervenants à cette conférence marquée par la participation de plusieurs institutions européennes et arabes.
Organisée par les ministères italiens des Affaires étrangères et du Développement économique, en collaboration avec la Chambre de commerce de Milan et l'Organisation arabe du développement industriel et minier (Oadim), cette rencontre de deux jours, a pour objectif d'intensifier les relations et opportunités économiques dans la région méditerranéenne.
Intervenant lors de la séance d'ouverture, plusieurs orateurs ont fait part de leur satisfaction pour le maintien de ce rendez-vous en dépit de la situation difficile que traversent certains pays arabes.
Cela dénote la volonté de tous de «favoriser et de renforcer les relations économiques et commerciales, les échanges culturels et la coopération au développement, au bénéfice de tout le bassin méditerranéen», a affirmé Roberto Formigoni, le président de la région de Lombardie dont Milan est le chef lieu.
Formigoni, qui co-préside les travaux de la conférence avec le président de la Chambre de commerce de Milan (Promos), Bruno Ermoli, a plaidé pour un renforcement des partenariats notamment en matière de formation et de transfert de savoir-faire.
Ermoli a souligné, pour sa part, que l'Europe dispose de 20 millions de PME, qui constituent 99% de l'ossature de son système productif et offrent 90% des postes d'emploi.
Plusieurs de ces entreprises, a-t-il ajouté, exportent quotidiennement des produits, de la technologie et leur savoir-faire vers les pays arabes, qui constituent pour eux un marché privilégié. Selon lui, les échanges de l'Italie avec ces pays a atteint pour la seule année 2010, 13, 8 milliards d'euros, soit 9, 8% par rapport à 2009.
Les travaux de cette Conférence se poursuivront mardi par l'examen de plusieurs sujets, tels l'encouragement des investissements par les fonds et programmes d'aide arabes et européens.
Plusieurs rencontres et tables-rondes sectorielles entre entrepreneurs européens, italiens et arabes opérant dans des secteurs aussi variés que l'agroalimentaire, le textile et le cuir, l'ingénierie, l'automobile et le bâtiment, ont lieu dans le cadre de cette Conférence, qui connait la participation de plusieurs organismes spécialisés.
Des rencontres B to B sont également au programme des travaux de la Conférence, dont la première édition s'était tenue en février 2010 en Syrie..
Outre sa portée stratégique pour les relations économiques et commerciales, cette conférence aura des retombées positives sur le plan des relations internationales, ont affirmé plusieurs intervenants à cette conférence marquée par la participation de plusieurs institutions européennes et arabes.
Organisée par les ministères italiens des Affaires étrangères et du Développement économique, en collaboration avec la Chambre de commerce de Milan et l'Organisation arabe du développement industriel et minier (Oadim), cette rencontre de deux jours, a pour objectif d'intensifier les relations et opportunités économiques dans la région méditerranéenne.
Intervenant lors de la séance d'ouverture, plusieurs orateurs ont fait part de leur satisfaction pour le maintien de ce rendez-vous en dépit de la situation difficile que traversent certains pays arabes.
Cela dénote la volonté de tous de «favoriser et de renforcer les relations économiques et commerciales, les échanges culturels et la coopération au développement, au bénéfice de tout le bassin méditerranéen», a affirmé Roberto Formigoni, le président de la région de Lombardie dont Milan est le chef lieu.
Formigoni, qui co-préside les travaux de la conférence avec le président de la Chambre de commerce de Milan (Promos), Bruno Ermoli, a plaidé pour un renforcement des partenariats notamment en matière de formation et de transfert de savoir-faire.
Ermoli a souligné, pour sa part, que l'Europe dispose de 20 millions de PME, qui constituent 99% de l'ossature de son système productif et offrent 90% des postes d'emploi.
Plusieurs de ces entreprises, a-t-il ajouté, exportent quotidiennement des produits, de la technologie et leur savoir-faire vers les pays arabes, qui constituent pour eux un marché privilégié. Selon lui, les échanges de l'Italie avec ces pays a atteint pour la seule année 2010, 13, 8 milliards d'euros, soit 9, 8% par rapport à 2009.
Les travaux de cette Conférence se poursuivront mardi par l'examen de plusieurs sujets, tels l'encouragement des investissements par les fonds et programmes d'aide arabes et européens.
Plusieurs rencontres et tables-rondes sectorielles entre entrepreneurs européens, italiens et arabes opérant dans des secteurs aussi variés que l'agroalimentaire, le textile et le cuir, l'ingénierie, l'automobile et le bâtiment, ont lieu dans le cadre de cette Conférence, qui connait la participation de plusieurs organismes spécialisés.
Des rencontres B to B sont également au programme des travaux de la Conférence, dont la première édition s'était tenue en février 2010 en Syrie..