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Soutenue par l'Unesco et l'Isesco, l'Académie régionale de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër a organisé la semaine dernière un atelier de deux jours qui a pour objectif de renforcer le projet des clubs de presse dans les lycées et intégrer l'éducation aux médias et à l'information dans le cursus de l'enseignement secondaire.
Plusieurs séances de travail portant sur différents thèmes ont été organisées lors de cet atelier. Les clubs de presse sont censés constituer un bon moyen pour les lycéens de chercher l'information, et de mieux comprendre le système des médias. «Nous avons décidé d'organiser ces deux jours d'atelier afin d'aider les clubs de presse à se professionnaliser un peu plus. En effet, le projet des clubs de presse s'impose aujourd'hui face au développement important que connait le secteur des médias, de communication et de l'information. Ces clubs aideront donc les lycéens à pouvoir s'exprimer librement, à dire ce qu'ils pensent, à critiquer, à faire de bons choix et à être capables de dénicher eux-mêmes la bonne information.
Ces clubs sont également des lieux et des moyens d'apprentissage, aussi bien de la langue que de l'écriture. Enfin, c'est une manière pour nous de les préparer à une citoyenneté et les responsabiliser», indique Tijania Fertat, directrice de l'Académie de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër. Et d'ajouter «Nous avons le devoir d'entrer dans le monde de nos lycéens. Avec la profusion de nouveaux médias, les informations sont devenues aussi nombreuses que diversifiées. A leur âge, les élèves auront du mal à tout comprendre. Il s'agit donc de tenter de leur donner des repères pour qu'ils puissent se forger leur propre opinion, et les doter d'outils leur permettant de faire le bon choix».
De son côté, Ito Misako, conseillère à la communication et à l'information au sein de l'Unesco à Rabat trouve que le projet des clubs de presse est une expérience très intéressante. «Les citoyens ont accès à une multitude d'informations, que ce soit en provenance des médias traditionnels ou des médias sociaux. Il est donc indispensable de former la jeunesse à mieux maîtriser l'information qui leur parvient», indique-t-elle.
El Mahjoub Bensaid, expert de communication de l'Isesco a, quant à lui, affirmé que le plan d'action de l'organisation 2010/2012 qui traite le secteur de la communication et de l'information vise à sensibiliser les pays membres à l'importance du secteur et à multiplier les efforts à ce sujet.
Plusieurs séances de travail portant sur différents thèmes ont été organisées lors de cet atelier. Les clubs de presse sont censés constituer un bon moyen pour les lycéens de chercher l'information, et de mieux comprendre le système des médias. «Nous avons décidé d'organiser ces deux jours d'atelier afin d'aider les clubs de presse à se professionnaliser un peu plus. En effet, le projet des clubs de presse s'impose aujourd'hui face au développement important que connait le secteur des médias, de communication et de l'information. Ces clubs aideront donc les lycéens à pouvoir s'exprimer librement, à dire ce qu'ils pensent, à critiquer, à faire de bons choix et à être capables de dénicher eux-mêmes la bonne information.
Ces clubs sont également des lieux et des moyens d'apprentissage, aussi bien de la langue que de l'écriture. Enfin, c'est une manière pour nous de les préparer à une citoyenneté et les responsabiliser», indique Tijania Fertat, directrice de l'Académie de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër. Et d'ajouter «Nous avons le devoir d'entrer dans le monde de nos lycéens. Avec la profusion de nouveaux médias, les informations sont devenues aussi nombreuses que diversifiées. A leur âge, les élèves auront du mal à tout comprendre. Il s'agit donc de tenter de leur donner des repères pour qu'ils puissent se forger leur propre opinion, et les doter d'outils leur permettant de faire le bon choix».
De son côté, Ito Misako, conseillère à la communication et à l'information au sein de l'Unesco à Rabat trouve que le projet des clubs de presse est une expérience très intéressante. «Les citoyens ont accès à une multitude d'informations, que ce soit en provenance des médias traditionnels ou des médias sociaux. Il est donc indispensable de former la jeunesse à mieux maîtriser l'information qui leur parvient», indique-t-elle.
El Mahjoub Bensaid, expert de communication de l'Isesco a, quant à lui, affirmé que le plan d'action de l'organisation 2010/2012 qui traite le secteur de la communication et de l'information vise à sensibiliser les pays membres à l'importance du secteur et à multiplier les efforts à ce sujet.
