L'Union pour la Méditerranée (UPM), qui peut être un instrument pour la paix, la stabilité et le développement en Méditerranée, «doit être une priorité pour l'ensemble des pays de la région» euro-méditerranéenne, a souligné, lundi à Madrid, le nouveau secrétaire général de cette Union, Youssef Amrani. S'exprimant lors d'une conférence de presse conjointe au terme d'un entretien avec la ministre espagnole des affaires étrangères et de la coopération, Trinidad Jiménez, Amrani a appelé à «travailler sur de nouveaux paramètres» pour le partenariat euro-méditerranéen. L'UPM «doit constituer une priorité», vu notamment les nouveaux contextes dans les rives sud et nord de la Méditerranée, avec des transitions démocratiques dans plusieurs pays arabes et une crise économique et financière dans des pays européens, a-t-il expliqué, évoquant, en outre, la réflexion menée actuellement au sujet du type de voisinage politique que l'Europe veut pour ses voisins du sud. «Il est vrai que l'UPM a traversé quelques turbulences politiques, mais ceci n'est pas synonyme d'un blocage systématique. Nous avons sur la table des projets qu'il faut travailler pour relancer un processus euro-méditerranéen fondé sur un partenariat d'égal à égal à travers une nouvelle gouvernance paritaire», a poursuivi le nouveau SG de l'Union.
Il a souligné la nécessité que «tous les pays des rives nord et sud de la Méditerranée tirent cette Union vers le haut», mettant l'accent, à ce propos, sur l'importance de la mise en oeuvre de projets concrets pour la création de l'emploi et la promotion de la croissance économique, ainsi que sur la création d'espaces de libertés. Youssef Amrani a fait observer, dans le même contexte, que l'UPM ne doit pas être considérée comme un partenariat uniquement entre des gouvernements, plaidant pour l'implication d'autres acteurs dans cet effort, dont la société civile et les institutions parlementaires. Evoquant sa nomination à la tête de l'UPM, Amrani a souligné qu'il s'agit «d'une grande responsabilité, étant donné les nombreux espoirs placés dans cette Union», ainsi que d'un «défi» et d'une «nouvelle opportunité». Il a, par ailleurs, salué le rôle de «leadership très important» de l'Espagne dans l'espace euro-méditerranéen et pour cette «nouvelle gouvernance euro-méditerranéenne» qu'est l'UPM. De son côté, la chef de la diplomatie espagnole a souligné qu'«une coopération de plus en plus étroite entre le nord et le sud de la Méditerranée est plus urgente et nécessaire que jamais, vu les circonstances actuelles». Le processus de paix au Proche-Orient et les changements survenus dans certains pays de la rive sud de la Méditerranée sont des preuves claires de l'importance du rôle que doit jouer l'UPM, a-t-elle expliqué, se disant persuadée du fait que l'Union «peut aider de manière cruciale dans le développement économique, social et politique de la région».
Jiménez a relevé que le nouveau secrétaire général de l'UPM «va jouer un rôle clé» à ce propos, étant donné qu'il est à la tête du principal organe politique responsable de l'exécution et de la continuité des projets essentiels pour la consolidation du partenariat euro-méditerranéen.
«Le poste que Youssef Amrani vient d'assumer est d'une grande importance aussi bien pour l'Union européenne que pour les pays du sud de la Méditerranée», a-t-elle insisté.
Il a souligné la nécessité que «tous les pays des rives nord et sud de la Méditerranée tirent cette Union vers le haut», mettant l'accent, à ce propos, sur l'importance de la mise en oeuvre de projets concrets pour la création de l'emploi et la promotion de la croissance économique, ainsi que sur la création d'espaces de libertés. Youssef Amrani a fait observer, dans le même contexte, que l'UPM ne doit pas être considérée comme un partenariat uniquement entre des gouvernements, plaidant pour l'implication d'autres acteurs dans cet effort, dont la société civile et les institutions parlementaires. Evoquant sa nomination à la tête de l'UPM, Amrani a souligné qu'il s'agit «d'une grande responsabilité, étant donné les nombreux espoirs placés dans cette Union», ainsi que d'un «défi» et d'une «nouvelle opportunité». Il a, par ailleurs, salué le rôle de «leadership très important» de l'Espagne dans l'espace euro-méditerranéen et pour cette «nouvelle gouvernance euro-méditerranéenne» qu'est l'UPM. De son côté, la chef de la diplomatie espagnole a souligné qu'«une coopération de plus en plus étroite entre le nord et le sud de la Méditerranée est plus urgente et nécessaire que jamais, vu les circonstances actuelles». Le processus de paix au Proche-Orient et les changements survenus dans certains pays de la rive sud de la Méditerranée sont des preuves claires de l'importance du rôle que doit jouer l'UPM, a-t-elle expliqué, se disant persuadée du fait que l'Union «peut aider de manière cruciale dans le développement économique, social et politique de la région».
Jiménez a relevé que le nouveau secrétaire général de l'UPM «va jouer un rôle clé» à ce propos, étant donné qu'il est à la tête du principal organe politique responsable de l'exécution et de la continuité des projets essentiels pour la consolidation du partenariat euro-méditerranéen.
«Le poste que Youssef Amrani vient d'assumer est d'une grande importance aussi bien pour l'Union européenne que pour les pays du sud de la Méditerranée», a-t-elle insisté.