● Bracci à Khouribga. La commission de recrutement de l’OCK vient de choisir l’entraîneur français François Bracci pour entraîner l’équipe la saison prochaine. Il était attendu hier pour signer un contrat. En fait, le technicien retrouve l’équipe qui l’avait entrainée. Il succède à Fouad Sahabi remercié en fin de saison.
● Hadji file au Qatar. Après un an au Stade Rennais, l’attaquant Youssouf Hadji (7 buts en 2011-2012) ne poursuivra pas l’aventure en Bretagne. L’international marocain s’est en effet engagé pour les deux prochaines saisons avec le club qatari d’Al Arabi. L’ancien joueur de Nancy était sous contrat avec Rennes jusqu’en 2013.
● Le WAC à Abidjan. Après avoir bénéficié d’un repos de deux jours, le WAC devait reprendre l’entraînement hier sous la direction de Benito Floro pour préparer le voyage à Abidjan. C’est mercredi que la délégation wydadie s’envolera en direction de la capitale ivoirienne, Abidjan. L’équipe y rencontrera l’AFAD (Academie de Football de Football Amadou Diallo) en match barrage de la CAF Confédération Cup. Le match est prévu samedi après-midi. Pour cette rencontre, le WAC sera au complet avec le renfort du gardien de but, Nadir Lemyaghri, et du milieu de terrain, Mohamed Berrabeh, qui ont rejoint le groupe en concentration à Casablanca. Concernant l’adversaire du WAC, l’AFAD, il vient d’être éliminé de la Coupe de Côte d’Ivoire.
● Hamdallah approché par le WAC. Désireux de renforcer son effectif, le WAC a engagé des contacts avec l’Olympique de Safi pour s’attacher les services d’Abderrazak Hamdallah, buteur patenté des Safiots et 2e réalisateur du championnat avec 15 buts. Ce joueur, qui souhaite évoluer au WAC, espère que les négociations aboutissent à un accord.
● Arbitrage. Ce soir à partir de 19h30 à l’hôtel Suisse sera présenté l’ouvrage de l’ex- arbitre Ahmed Jarir intitulé «L’arbitrage : comprendre les règles du football».
● R. Bachelot : «l’équipe de France est impardonnable». Deux ans après s’être rendue en Afrique du Sud pour recadrer les Bleus, l’ex-ministre des Sports, Roselyne Bachelot, n’a pas l’impression que l’équipe de France a grandi. «On peut toujours rater un match et ça on peut le pardonner. Mais on ne peut jamais pardonner des comportements inadéquats parce que le football ce n’est pas n’importe quel sport dans notre pays, c’est deux millions de personnes qui sont licenciées, c’est vraiment les idoles de toute une génération, de tous les gamins. Véritablement, c’est impardonnable», a-t-elle grondé lors du JT de France 2, relayé par le site Maxifoot. Selon Bachelot, on ne peut pas jouer «en équipe de France si on ne respecte pas un code de bonne conduite».