Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïb Fassi Fihri a souligné, jeudi à Rabat, que le 6e round des pourparlers informels sur le Sahara, tenu du 7 au 9 mars à Mellieha (Malte), a été l'occasion d'émettre un certain nombre d'observations sur les limites de la soi-disant proposition du «polisario», fondée sur des thèses obsolètes de par leur référentiel et au contenu inapplicable.
Lors d'un point de presse à l'issue du Conseil de gouvernement, réuni sous la présidence du Premier ministre, Khalid Naciri, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, a indiqué Fassi Fihri a souligné, dans un exposé devant le Conseil, que ce round a été aussi l'occasion de mettre en exergue la pertinence et le bien-fondé de l'initiative marocaine d'autonomie, comme cela a été confirmé par le Conseil de sécurité.
Naciri a ajouté que la délégation marocaine participant à ce round auquel ont pris part les représentants de l'Algérie, de la Mauritanie et du «polisario», a exprimé son grand étonnement face au refus de l'autre partie de discuter de la question des droits de l'Homme sur laquelle elle avait pourtant beaucoup insisté précédemment et dont elle est à l'origine. Il a affirmé que cela prouve que cette question n'est qu'une manœuvre destinée à la consommation médiatique et visant à perturber le processus de négociations.
Fassi Fihri a indiqué qu'un nouveau round de pourparlers informels sur le Sahara est prévu fin mai prochain, dont l'ordre du jour portera sur les ressources naturelles, le déminage, la poursuite de la recherche d'approches innovantes et le strict respect des mesures de confiance en vue d'organiser les opérations d'échange de visites familiales, de part et d'autre.
Dans ce cadre, a-t-il affirmé, le Maroc réitère la nécessité pour l'Algérie d'assumer ses responsabilités sur les plans politique, juridique et moral afin de rejoindre la volonté du Maroc de normaliser les relations bilatérales.
Naciri a indiqué que le Maroc demeure engagé, avec sérieux et crédibilité, à œuvrer afin de parvenir à un règlement politique, définitif et consensuel sur la base de l'initiative d'autonomie, et ce en phase avec les exigences de la gouvernance territoriale et de la régionalisation élargie, comme cela a été souligné par S.M. le Roi Mohammed VI dans son discours historique du 9 mars dans lequel le Souverain a annoncé le grand chantier de la réforme constitutionnelle.
Lors d'un point de presse à l'issue du Conseil de gouvernement, réuni sous la présidence du Premier ministre, Khalid Naciri, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, a indiqué Fassi Fihri a souligné, dans un exposé devant le Conseil, que ce round a été aussi l'occasion de mettre en exergue la pertinence et le bien-fondé de l'initiative marocaine d'autonomie, comme cela a été confirmé par le Conseil de sécurité.
Naciri a ajouté que la délégation marocaine participant à ce round auquel ont pris part les représentants de l'Algérie, de la Mauritanie et du «polisario», a exprimé son grand étonnement face au refus de l'autre partie de discuter de la question des droits de l'Homme sur laquelle elle avait pourtant beaucoup insisté précédemment et dont elle est à l'origine. Il a affirmé que cela prouve que cette question n'est qu'une manœuvre destinée à la consommation médiatique et visant à perturber le processus de négociations.
Fassi Fihri a indiqué qu'un nouveau round de pourparlers informels sur le Sahara est prévu fin mai prochain, dont l'ordre du jour portera sur les ressources naturelles, le déminage, la poursuite de la recherche d'approches innovantes et le strict respect des mesures de confiance en vue d'organiser les opérations d'échange de visites familiales, de part et d'autre.
Dans ce cadre, a-t-il affirmé, le Maroc réitère la nécessité pour l'Algérie d'assumer ses responsabilités sur les plans politique, juridique et moral afin de rejoindre la volonté du Maroc de normaliser les relations bilatérales.
Naciri a indiqué que le Maroc demeure engagé, avec sérieux et crédibilité, à œuvrer afin de parvenir à un règlement politique, définitif et consensuel sur la base de l'initiative d'autonomie, et ce en phase avec les exigences de la gouvernance territoriale et de la régionalisation élargie, comme cela a été souligné par S.M. le Roi Mohammed VI dans son discours historique du 9 mars dans lequel le Souverain a annoncé le grand chantier de la réforme constitutionnelle.